jeudi 31 mai 2012

Vivek Kundra, Salesforce : «nos sociétés ne sont pas prêtes pour la transformation majeure qui est déjà en marche.»

A lire sur:  http://www.lemagit.fr/article/france-salesforce-cloud-computing-vivek-kundra/11125/1/vivek-kundra-salesforce-nos-societes-sont-pas-pretes-pour-transformation-majeure-qui-est-deja-marche/?utm_source=essentielIT&utm_medium=email&utm_content=new&utm_campaign=20120529&xtor=ES-6

Le 28 mai 2012 (11:23) - par Valery Marchive

L’ancien DSI de Maison Blanche est aujourd’hui responsable des activités de Salesforce dans les pays émergents. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir un regard très pointu sur le secteur public et, plus généralement, sur Internet et la manière dont il transforme nos sociétés. Un regard qu’il a accepté de partager avec quelques journalistes lors de l’événement Cloudforce qui s’est déroulé à Londres, la semaine dernière.
Vivek Kundra, Salesforce : «nos sociétés ne sont pas prêtes pour la transformation majeure qui est déjà en marche.»
LeMagIT: en avril, vous avez annoncé le lancement d’offres dédiées au secteur public aux Etats-Unis. Quels sont vos ambitions avec ces offres et prévoyez-vous de les étendre à d’autres pays ?
Vivek Kundra: Ce projet a plusieurs volets. Tout d’abord, la création d’une place marché d’applications qui soit globale par essence. Aux Etats-Unis, nous avons identifié un problème : il y a 3 000 de comtés locaux, 50 états, et des centaines d’agences fédérales; les dépenses IT ne sont pas consolidées, par coordonnées. Chacun a ses propres systèmes. Mais tous sont financés à partir de fonds issus de la fiscalité. À l’échelle d’un Etat, on parle de centaines de millions de dollars dépensés sur les systèmes de santé, de couverture chômage, de transport. Au niveau fédéral, il y a beaucoup de duplication des investissements ne serait-ce que pour quelque chose de simple comme la messagerie électronique et le travail collaboratif. L’idée de cette place de marché, c’est prendre de l’innovation venue du monde entier et la partager partout dans le monde. Pour que la meilleure application développée à Londres pour les besoins spécifiques d’une activité du secteur public puisse être utilisée à Paris ou Washington, par exemple. Le second volet, c’est de permettre aux petites entreprises de gagner en visibilité, d’apporter de l’innovation, et de créer des emplois parce que l’on sait bien que les idées les plus créatives viennent de petites structures. Il s’agit de permettre à ces entreprises de créer des applications sur notre plateforme force.com et de les vendre aux gouvernements.
LeMagIT: Vous envisagez donc une couverture globale pour cette place de marché. Comment entendez-vous répondre à la problématique des contraintes réglementaires diverses ?
Vivek Kundra: Qu’il s’agisse de Patriot Act aux Etats-Unis ou d’autre chose... chaque pays à travers le monde a ses propres réglementations autour de sa sécurité, du contre-terrorisme, etc. Mais chez Salesforce.com, nous comptons plus d’une centaine de milliers de clients du monde entier qui utilisent nos solutions, dont des gouvernements. Dans de nombreux cas, ces questions ont plus un caractère émotionnel qu’autre chose... Je veux dire que si vous regardez les données, en général, la distinction entre celles qui sont en mouvement et celles qui sont statiques est difficile : vous voyagez, vous accédez à ces données en déplacement, elles se déplacent aussi... le système est mondial par essence.
LeMagIT: Les différences réglementaires sont toutefois bien réelles. L’Europe prépare notamment une nouvelle législation très stricte sur la protection des données personnelles...
Vivek Kundra: Nous échangeons et continuerons de le faire avec les interlocuteurs pertinents. Mais prenons un peu de recul : encore une fois, nous avons plusieurs centaines de milliers de clients dans le monde entier. Et nous allons recruter 700 personnes en Europe; la croissance est très rapide dans cette région. J’étais à Davos cette année. Et nous avons beaucoup discuté, avec les régulateurs, de ces sujets. Et puis, d’un côté, il y a avait des ministres des Finances réfléchissant gravement à la reprise économique et de l’autre, des ingénieurs tellement optimistes quant à l’avenir... ce sont ces derniers qui travaillent aux nouvelles technologies qui créent tellement d’emplois. Je pense que la question réglementaire va continuer d’avancer. Mais les transformations fondamentales sont à venir, car les sociétés ne sont pas encore prêtes pour la transformation qui est déjà en marche.
Souvenez-vous de cette couverture de Time Magazine, qui a fait du manifestant l’homme de l’année 2011. Pensez au Printemps Arabe, par exemple, et à l’histoire de cet employé de Google en Egypte, à toute cette coordination par les réseaux sociaux, à ce qui s’est passé avec Occupy Wall Street... la manière dont les gens s’organisent collectivement a radicalement changé. Pour moi, c’est quelque chose de bien plus important que les questions réglementaires.
LeMagIT: Mais d’importantes forces cherchent aussi à maîtriser cette tendance. Et l’on peut penser notamment au discours de Nicolas Sarkozy à l’e-G8, ou encore à la législation indienne sur l’expression en ligne d’avril 2011...
Vivek Kundra: Oui. Je pense qu’il y a des gens qui se sentent du mauvais côté de l’histoire. On assiste au plus gros déplacement des pouvoirs de toute l’histoire de l’humanité. Tout le monde n’en a pas conscience. Mais de nombreuses institutions et de personnes veulent maintenir et préserver le statu quo. Mais le pouvoir est en train passer dans les mains de cet employé de Google, de ceux qui publient sur le mur Facebook d’Occupy Wall Street. C’est bien réel. Ça arrive. Et il y a des chiffres pour l’affirmer : regardez certaines valorisations boursières... Et cette transformation en profondeur s’accompagne de la plus grande création de richesse de l’histoire. Regardez les Facebook, les Salesforce... toute la création d’emplois se fait dans ce secteur. C’est excitant et c’est une transformation profonde.
LeMagIT: Revenons pour terminer sur la question du Cloud Computing et du secteur public. Pensez-vous que l’investissement doit être le fait d’entreprises privées - dont les Etats seront clients - ou plutôt des Etats, y compris dans le cadre de partenariats public-privé ? Et je pense en particulier à l’initiative française sur le Cloud .
Vivek Koundra: On constate généralement beaucoup de gâchis dans les dépenses publiques. Il suffit de regarder où se fait l’innovation. Dans les années 1960, l’innovation était le fait de grosses institutions publiques. Dans les années 1980, les plus belles technologies sont nées dans les grandes entreprises du secteur privé, dans les multinationales. Avec les années 2000, l’innovation est passée dans le Web grand public. Ce qui est intéressant là, c’est que l’innovation se déplace des grandes institutions publiques, aux entreprises, puis maintenant aux consommateurs. L’écart technologique entre chacun des trois univers continue de s’agrandir. Ce serait donc une erreur d’investir des millions et des millions pour construire un écosystème interne fermé. Simplement parce que l’infrastructure physique nécessaire est devenue une commodité. Et de l’autre côté, le problème des entreprises centrées sur le secteur public, c’est que leur objectif est d’abord de remporter le contrat. Puis elles font tout ce qui est nécessaire pour augmenter leurs marges; elles n’investissent pas en R&D pour innover. Et souvent, au final, ce sont des projets qui coûtent cher, qui durent des années, qui ne fonctionnent pas et ne permettent pas de profiter de l’innovation qui survient ailleurs, dans le monde du grand public.
Et ce qui rend cette époque différente, c’est la pression darwinienne à innover : dans le grand public, si vous cessez d’innover, vous disparaissez, car le consommateur n’a qu’à cliquer pour passer à un autre fournisseur.

La consumérisation de l'informatique (consumerization)

A lire sur:  http://www.trendmicro.fr/grandes-entreprises/consumerisation/index.html

Lorsque les employés amènent leurs propres dispositifs mobiles au travail et qu'ils les utilisent pour partager des fichiers ou des données à l'intérieur comme à l'extérieur du bureau, il est difficile pour le service informatique de garder visibilité et contrôle. Il peut aussi vous aider à adopter la consumérisation (Consumerization) grâce, notamment, à la gestion des dispositifs mobiles (ou MDM pour Mobile Device Management), la sécurité basée sur le cloud, les services de localisation de dispositif, le nettoyage à distance en cas de perte ou de vol, etc.

Pourquoi ce changement ? La consumérisation de l'informatique est promise à un avenir radieux : c'est une technologie simple, accessible et omniprésente. Elle permet aux gens de travailler quand ils veulent, où ils veulent.

Comment réagir ? En trouvant le juste milieu entre liberté et contrôle, les grandes entreprises peuvent adopter la consumérisation et décrocher les opportunités d'un « bureau sans limites ».

Une approche stratégique de la consumérisation est nécessaire pour réduire les risques de sécurité et les risques financiers et éviter un cauchemar organisationnel. Cette stratégie doit s'appuyer sur une infrastructure de solutions vous permettant de :
  • Retrouver la visibilité et reprendre le contrôle grâce à la gestion et à la protection des dispositifs appartenant à l'entreprise ou aux employés (BYOD).
  • Partager les données d'entreprise de manière confidentielle grâce à l'accès, la sauvegarde et le partage de fichiers sécurisés.
  • Protéger les données où qu'elles soient grâce à une sécurité adaptée au contexte.
Consumérisation de l'informatique

Les patrons inscrits sur les réseaux sociaux améliorent la compétitivité de l’entreprise

A lire sur:  http://www.atlantico.fr/pepites/patrons-inscrits-reseaux-sociaux-ameliorent-competitivite-entreprise-369892.html

L’utilisation des technologies sociales permettrait à l’organisation d’être plus adaptative et flexible.
 
Seulement 16% des PDG sont présents sur les réseaux sociaux, selon une récente étude d’IBM menée sur 1709 patrons à travers le monde. Mais ce chiffre devrait bientôt gonfler à 57% en l’espace de 5 ans…
 
En effet, l’utilisation des réseaux sociaux serait très favorable aux affaires. Pour être un bon patron désormais, l’email et le téléphone ne suffisent plus, il faut être sur Facebook et Twitter.
 
L’utilisation des technologies sociales aiderait à prendre contact avec les clients, mais aussi avec les employés et les fournisseurs, créant une dynamique positive, permettant à l’organisation d’être plus adaptative et flexible. L’entreprise sera alors plus à même de s’adapter à des changements brutaux sur le marché.
 
L’étude conclue que « Lorsque les patrons augmentent le niveau d’ouverture dans leur entreprise, ils développent des environnements collaboratifs où les employés sont encouragés à parler, à avoir des initiatives personnelles, à entrer en contact avec des collaborateurs, à innover. »
La preuve : selon l’étude, les entreprises qui surpassent leurs concurrentes sont plus soucieuses des medias sociaux. Pour elles, l’ouverture sur le monde et l’usage des réseaux sociaux est une composante clef de l’entreprise.
 

mercredi 30 mai 2012

BYOD : les entreprises françaises dépassées ?

A lire sur:  http://www.zdnet.fr/actualites/byod-les-entreprises-francaises-depassees-39771759.htm?goback=.gde_2972629_member_115811214

BYOD : les entreprises françaises dépassées ?Analyse - La pression des salariés pour connecter leurs terminaux personnels au SI de l'entreprise est de plus en plus forte. Et le refus des DSI est bien souvent contourné, révèle une étude d'IDC...
De plus en plus équipés de smartphones haut de gamme, les Français veulent pouvoir utiliser leurs terminaux personnels à des fins professionnelles, notamment en le connectant au SI de l'entreprise. C'est le fameux phénomène du BYOD (bring your own device).
Selon une étude d'IDC pour le compte de Bouygues Telecom Entreprises, 40% des salariés français interrogés ont demandé à la direction informatique d'ouvrir le SI à leurs outils personnels. "La pression est de plus en plus forte, elle est même parfois menaçante", souligne Nathalie Feeney, analyste pour le cabinet d'analyses.
Néanmoins, les entreprises restent réticentes à cette idée, effrayées par les conséquences sur la sécurité des données ou encore l'intégrité du SI malgré les bénéfices apportés (plus de productivité, économies etc...).
Ainsi, 71% des DSI interrogées refusent catégoriquement d'autoriser les salariés à utiliser leurs smartphones personnels dans le cadre de leur travail. Le taux monte à 89% pour les tablettes tactiles.
Les salariés initiateurs du phénomène et en même temps victimes
Dans le même temps, 52% des salariés interrogés déclarent utiliser leurs outils personnels pour accéder au SI de leur entreprise (20% le font souvent)... "Les salariés outrepassent le refus d'accès par les DSI", souligne l'étude.
"Les entreprises sont dépassées", ajoute Nathalie Feeney. "Elles ont du mal à prendre la mesure du problème, notamment parce que les DSI ont la tête sous l'eau, préoccupées par des chantiers jugés comme stratégiques comme les migrations de postes. Elles ne réagissent pas aussi vite que la pénétration rapide des terminaux personnels dans leurs murs".
Par ailleurs, moins de la moitié (48%) des entreprises mettent en place une stratégie spécifique pour intégrer la mobilité à la stratégie du SI. Pire, 52% n'ont rien prévu d'ici 24 mois.
Pourtant les solutions existent. De nombreux éditeurs ou fabricants proposent désormais des outils MDM (mobile devices management) afin de gérer de manière centralisée ces terminaux externes et hétérogènes. Des outils qui permettent de renforcer la sécurité des données de l'entreprise et de séparer les contenus pros des contenus personnels.
Mais les cycles de décision sont lents. "Il y a une croissance forte de ce marché qui progressera cette année en Europe de 39%. Mais la généralisation de ce type d'outils n'est pas encore pour demain. Pour le moment, les entreprises doivent subir le phénomène et faire avec. Le phénomène est récent, les bonnes pratiques ne sont pas encore identifiées", ajoute l'analyste d'IDC.
Si le BYOD provoque des remous au sein des directions informatiques, il pourrait également à terme modifier considérablement les conditions de travail des salariés. Des modifications qui commencent déjà à apparaître.
72% des salariés équipés travaillent durant leurs loisirs
Selon IDC, 72% des salariés équipés d'un smartphone ou d'une tablette en profitent pour travailler avec sur leur temps personnel (63% durant le week-end, 54% en vacances, 41% devant la TV...). De quoi faire émerger un télétravail non formalisé et aux pratiques non encadrées.
"Si elle présente des avantages pour le salarié et l'entreprise, cette abolition progressive de la frontière entre vies personnelles et professionnelle nécessite un encadrement des usages afin de ne pas conduire le salarié à une situation de connexion permanente et donc un risque de sur-sollicitation", note IDC.
En somme, le salarié est en train de créer lui même les conditions pour abolir la frontière entre vie personnelle et vie professionnelle, pour déréguler les temps de vie. "Les salariés ressentent qu'inévitablement cette flexibilité fragilise l'équilibre vie privée/vie professionnelle". Pourtant ce sont ces mêmes salariés qui ont adopté massivement les outils et donnent l'impulsion pour la transformation des modes de travail", ajoute l'institut.
L'avenir sera certainement synonyme d'abus en tous genres. Du salariés 'always-on' travaillant en fait tout le temps (le fameux fil à la patte) et de l'entreprise tentée de le solliciter à tout moment. D'où le nécessaire encadrement des pratiques à travers des chartes d'entreprises précises où les limites sont clairement posées. Mais ces chartes sont encore loin d'être courantes.

Lenovo : un exercice 2012 exceptionnel

A lire sur:  http://www.infodsi.com/articles/132790/lenovo-exercice-2012-exceptionnel.html?key=

samedi 26 mai 2012
Lenovo vient de clore son exercice 2012. Ses ventes ont atteint 29,6 milliards de dollars, soit une augmentation de près de 37% par rapport à l'exercice précédent. Le fabricant chinois est ainsi devenu le numéro 2 mondial sur le marché des PC avec 12,9% de parts de marché. 

Avec des ventes en hausse de 54% au dernier trimestre à 7,5 milliards de dollars et une bénéfice net avant impôt de 102 millions de dollars (+69%), Lenovo fait clairement partie des entreprises les plus dynamiques de l'année dans le secteur informatique. Ses ventes d'ordinateurs ont progressé de 34,9 % sur l'année et ses bénéfices ont atteint 582 millions de dollars, soit un bond de 63% par rapport à l'an dernier.

Au cours du dernier trimestre de son exercice, Lenovo a annoncé la création de 4 business units permettant de couvrir 4 zones géographiques (Chine, EMEA, Amérique du Nord et Asie-Pacifique-Amérique Latine), chacune étant chapeautée par un senior vice president. Lenovo s'enorgueuillit même d'être devenu en peu de temps le fabricant numéro 1 de PC sur 2 des 3 principaux marchés mondiaux (Chine et Japon).

Notez qu'au dernier trimestre, ses ventes de PC portables ont augmenté de 41% (et rapporté 4,2 milliards de dollars), ses ventes de PC de bureau de 45% (avec 2,4 milliards de dollars de revenus) et ses produits "Mobile Internet Digital Home" (smartphone et tablettes) ont également été très bien accueillis sur le marché chinois.

Avec le joint venture conclu avec NEC ainsi que l'acquisition de Medion aujourd'hui finalisée, les ventes consolidées sur les marchés matures ont augmenté de 85 % d'une année sur l'autre au cours du quatrième trimestre fiscal pour peser 3,4 milliards de dollars. Soit 45 % du CA total de l'entreprise. Et, alors que l'industrie est marquée par un calme plat, les ventes de PC Lenovo progressent de 81 %.

Le fabricant chinois sera-t-il capable de rééditer un tel exploit sur ce nouvel exercice ? Réponse d'ici peu.

Deliverables: Reality and perception in client invoices

A lire sur:  http://www.techrepublic.com/blog/project-management/deliverables-reality-and-perception-in-client-invoices/4582?tag=nl.e108

Takeaway: Trust, honesty, and openness with your client are especially important when invoicing for a project that require days or weeks of attention before reaching a milestone.
For most of my clients, my invoice contains a section that details what I worked on during each day and how many hours I spent on it. I’ve had a couple of clients who specifically asked me not to include that level of detail on their invoice, and state only the total number of hours worked. I can only guess that they needed to keep my activities secret for some reason. The rest of my clients appreciate the ability to allocate costs to each of the projects I work on, as well as to see exactly what they’re getting for their money.
When preparing my invoice, I imagine my client reading it — and I hope that what they’re thinking is something like:
- We’re getting a good value for our money here.
- Look at all the things he’s accomplished.
- I’ll need to give him more work.
Rather than:
- Is he ever going to finish that project?
- We’ve spent too much already — maybe we should suspend some features.
- I’m being taken for a ride.
Within the limits of my freedom to choose what I work on, this awareness of being watched by my client sometimes leads me to choose the work that includes the highest frequency of deliverables that I can easily enumerate on my invoice. That’s not all bad. In general, shorter cycles are better — both for getting things done and for creating opportunity for frequent feedback. But a lot of projects need to receive days or even weeks of dedicated attention before reaching a milestone. Those projects can become discouraging enough every time I hit a snag, without worrying about what my client will think when they see an invoice that reads:
5/07/2012 8 hrs Begin work on phase 3
5/08/2012 8 hrs Continue working on phase 3
5/09/2012 8 hrs Continue working on phase 3
5/10/2012 8 hrs Still working on phase 3
5/11/2012 8 hrs Yes, really
To overcome this fear and (more importantly) get these sorts of projects done, we need first and foremost to develop a relationship of trust with our client. Don’t ever fudge numbers or churn. Use the time you bill diligently, and unless your client is a paranoid sociopath they will come to realize that how long you took is how long it takes.
When possible, break down these projects into smaller chunks. That not only gives you more to talk about on your invoice — it may also help you decompose the problem better. Don’t be afraid to detail your work on the inevitable blind alleys. If you’re always honest with your client, they’ll realize that wild goose chases are often a natural part of exploring a problem domain. But you can also phrase it that way, as research — you don’t need to make yourself look completely clueless.
No matter what level of detail you include in your invoice, none of it should come as a surprise to your client. You should be communicating with them on a daily basis so that the invoice is only a summary of what they already know has happened. The more open communication we have with our clients, the less we’ll need to worry about how something sounds.

VMware: Why your datacentre needs to be as good as Google’s

A lire sur:  http://www.techrepublic.com/blog/cio-insights/vmware-why-your-datacentre-needs-to-be-as-good-as-googles/39748702?tag=nl.e102

Takeaway: Enterprise IT departments need to up their datacentre efficiency and should look to search giant Google for inspiration
Enterprises IT departments that want to meet tough business demands need to copy how Google runs its datacentres, according VMware CEO Paul Maritz.
IT departments are trapped between competing demands to reduce running costs while also supporting new business models and creating new ways for customers to interact with the business, Maritz told the EMC World conference in Las Vegas.
The answer is large scale automation of the datacentre, Maritz said, adding that enterprises should aim for the operational efficiency of Google, a company that has about 1.3 million servers and a ratio of one admin per 1,000 physical servers.
”That is the best metric of what has happen in the datacentre, we have got to get to dramatically higher levels of operational efficiency, otherwise we won’t be able to afford these new experiences
that need to be delivered,” he said.
”We have to change the datacentre from something that’s static and fixed and relatively expensive, to something that is highly automated, dynamic and very cost effective.”
Infrastructure automation means widespread virtualisation of commodity-grade compute, networks and storage, Maritz said.
”Our goal should be to make sure that enterprises spend as little time as possible on infrastructure. It is not what delivers business value.” he said.
It should be easy for the business to hand the infrastructure over to someone else to run, whether that is in a private or public cloud, he said.
VMware is working to overcome obstacles to entirely virtualising physical IT infrastructure, Maritz said, through using vShield to virtualise security functions, such as anti-virus and firewalls, which
are still carried out by physical devices in many datacentres, and securely federating access to virtual environments via vCloud.
But Maritz warned it was important that that incompatibility doesn’t result in businesses being unable to switch between different cloud infrastructures.
”In the cloud era are we going to go back to the bad old era of the mainframe? Where these clouds become Californian motels that you can check into, but never check out. In other words once you start writing your apps in the Amazon cloud or VMware cloud you are stuck there forever?
”Or, if you think about infrastructure clouds becoming the new hardware, will the software industry come up with a portability layer that will allow applications to be written to a high level of
abstraction and moved across infrastructure clouds?”
VMware was trying to help introduce this level of software interoperability between cloud infrastructures, he said, through its open source platform-as-a-service offering Cloud Foundry, which he hopes “will generate a Linux for the cloud”.

France Telecom « presque » seul maître à bord de l'égyptien Mobilnil

A lire sur:  http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/actu/0202083450015-france-telecom-presque-seul-maitre-a-bord-de-l-egyptien-mobilnil-327507.php?xtor=EPR-1500-[nl_8h]-20120528-[s=461370_n=3_c=304_]-409905656@1

Par Claude Fouquet | 27/05 | 18:28

L'opérateur téléphonique français devient le 1 actionnaire, largement majoritaire, du groupe égyptien de téléphonie.

En bourse
France Telecom, qui était déjà le 1er actionnaire du groupe égyptien de téléphonie mobile Mobinil, en détient désormais 94  % du capital. L'opérateur français détient en effet un total 93,9 millions d'actions, sur les 100 millions d'actions en circulation, acquises à un prix pré-établi de 202,5 livres égyptiennes par unité, ce qui représente un total de 19 milliards de livres (2,52 milliards d'euros) a annoncé dimanche l'autorité boursière du Caire
Mobinil, fondé par l'homme d'affaire égyptien Naguib Sawiris, est en concurrence avec Vodafone Egypt sur le marché local de la téléphonie mobile. France Telecom a acheté la plupart des titres Mobinil qu'il ne détenait pas encore à son partenaire Orascom Telecom Media and Technology (OTMT).
France Telecom devrait grace à cette acquisition asseoir un peu plus ses ambitions sur les marchés émergents à forte croissance, notamment en Afriaue et au Moyen-Orient.Avec plus de 80 millions d'habitants, l'Egypte est le pays arabe le plus peuple. Le nombre d'abonnements a progressé l'an dernier de 25% à 91,1 millions au cours des 12 mois à mars, selon des chiffres officiels, alors que l'économie peine à repartir après le plongeon enregistré dans les mois qui ont suivi la chute de Hosni Moubarak.
CLAUDE FOUQUET

Faster, higher, stronger: Big data will get Olympic workout

A lire sur:  http://www.itworld.com/big-datahadoop/278832/faster-higher-stronger-big-data-will-get-olympic-workout?source=ITWNLE_ITWNLE_nlt_bi_2012-05-30

By Irfan Khan  

Image credit: Reuters
The Olympics revels in structured data. The games measure thousands of athletes competing in hundreds of events. Whether or not they set a record, every contestant in every competition makes his or her mark, often with attendant metadata such as that day's wind speed or temperature.
But the Olympics' structured data goes far beyond the winners and losers who snagged gold, silver, bronze, or nothing at all. It includes how many spectators arrived to witness the sport, what they spent, where, and for what. As with every one of these quadrennial spectacles, this data will be queried to determine whether the Olympics validated London's investment.
Big data also has a role to play. It can be used by authorities to help coordinate public transport to match the traffic flows at the games. For example, Transport for London is considering monitoring anonymized location data from mobile phone locations to estimate the volume and direction of pedestrian traffic for real-time monitoring of where and when the throngs will need transport.
In addition, authorities will be keeping track of social networks and the video feeds from the many CCTV cameras around the sport venues and the city for security purposes. There are reports that authorities will apply facial recognition technology to preempt trouble by identifying in advance known criminals ranging from pickpockets to terrorists.
Social networks' unstructured data may also yield a post-Olympics windfall. Companies and Olympic organizers will be able to analyze what worked and what didn't during the 2012 London extravaganza. By sifting through peoples' in-the-moment observations about everything from locations of loos and food stalls to the availability of bandwidth and handicapped services. This knowledge can then be applied at the Rio de Janeiro Olympics in 2016 as well as other major sporting events such as the World Cup or the Super Bowl.
There will be many notable victories in sport this summer in London. Most will be plastered on the front pages of newspapers around the globe. But one unsung hero will be big data.
Related reading:
Invent new possibilities with HANA, SAP's game-changing in-memory software
SAP Sybase IQ Database 15.4 provides advanced analytic techniques to unlock critical business insights from Big Data
SAP Sybase Adaptive Server Enterprise is a high-performance RDBMS for mission-critical, data-intensive environments. It ensures highest operational efficiency and throughput on a broad range of platforms.
SAP SQL Anywhere is a comprehensive suite of solutions that provides data management, synchronization and data exchange technologies that enable the rapid development and deployment of database-powered applications in remote and mobile environments
Overview of SAP database technologies

10 Mobile Device Management Apps to Take Charge of BYOD

A lire sur:  http://www.cio.com/slideshow/detail/49367/10-Mobile-Device-Management-Apps-to-Take-Charge-of-BYOD?source=CIONLE_nlt_mobile_2012-05-30

Managing devices in a BYOD environment is no mean feat, and the right mobile device management (MDM) product can be a key component in making it work. Here are 10 leading MDM products on the market today.

By Thor Olavsrud, CIO, May 29, 2012

Good Technology
Good offers MDM through its Good for Enterprise platform and is well known for its mobile security features, especially platform-independent encryption in the email system and its ability to validate and authorize specific applications. It's compatible with both Microsoft Exchange and Lotus Notes.
CIO.com's: The Consumerization of IT and BYOD Guide

Capgemini et Atos vont rénover le système d’information des Urssaf

http://www.decideur-public.info/article-capgemini-et-atos-vont-renover-le-systeme-d-information-des-urssaf-105200544.html
Mardi 15 mai 2012
ACOSS.png Ce programme de rénovation inclut la conception et le développement en Open Source du système d’information cœur de métier de l’Agence Centrale des Organismes de la Sécurité Sociale (Acoss), la caisse nationale du réseau des Urssaf, pour le rendre plus flexible, plus interopérable et plus disponible. Dans ce cadre, les deux SSII Capgemini et Atos, réunis en Groupement momentané d’entreprise dont Capgemini est mandataire, ont été choisis par l’Acoss pour accompagner la rénovation de son système d’Information qui gère le recouvrement des cotisations et contributions sociales du régime général de la Sécurité Sociale et de ses partenaires. Les montants encaissés par le réseau des Urssaf se sont élevés à 417,8 milliards d’euros en 2011.
Le réseau des Urssaf est essentiel à l’équilibre financier du régime général de la Sécurité Sociale dont les quatre branches (Maladie, Famille, Retraite et Accidents du travail – maladies professionnelles) jouent un rôle majeur dans la société française actuelle. Pour rendre ce service encore plus performant et répondre aux nouveaux enjeux métiers tels que l’organisation des Urssaf à un niveau non plus départemental mais régional à l’horizon 2014, ou encore le développement des activités de recouvrement effectuées pour le compte d’autres partenaires (RSI, Unédic, autorités organisatrices de transport…), l’Acoss a lancé un grand programme de modernisation de son système d’information cœur de métier.
Capgemini et Atos, dans le cadre du lot 1 du marché, travaillent en collaboration étroite avec les équipes projet de l’Acoss pour assurer la conception et le développement en Open Source du système rénové, destiné à remplacer un ensemble applicatif de 6,5 millions de lignes COBOL né il y a plus de 25 ans. Le programme de rénovation de l’Acoss mobilisera des équipes internes et externes qui iront de 100 à plus de 200 personnes sur un calendrier de huit ans. Cette refonte se fera par paliers successifs annuels, avec une étape importante à horizon 2014 liée à la mise en œuvre effective du cœur du nouveau système de recouvrement.
Ce programme est important par son ampleur et original par sa dimension collaborative avec une implication forte de tous les centres informatiques régionaux. La maîtrise d’œuvre du programme est assurée par un centre informatique national du réseau des Urssaf situé à Sophia Antipolis près de Nice. Les projets sont répartis sur quatre sites (Valbonne, Marseille, Toulouse et Lyon), tandis que la maîtrise d’ouvrage s’appuie sur des Urssaf dites de proximité et les centres nationaux de validation de Clermont-Ferrand, Bordeaux et Paris.
Par ailleurs, dans le cadre de l’appel d’offres global, Capgemini a remporté le lot 2 du marchéCapgemini-Atos-Acoss.jpg dédié à l’apport d’expertises, qui s’appuiera sur son réseau de partenaires du monde du logiciel libre. François Hiebel, directeur de la maîtrise d’ouvrage de l’Acoss, souligne que « la Sécurité Sociale fait face en France, comme dans toutes les économies développées à de nouveaux défis du fait de l’allongement de la vie et de l’augmentation des coûts de santé ainsi que ceux du chômage. Le réseau des Urssaf doit s’adapter en permanence pour répondre à ces enjeux sociétaux et notamment aux impératifs tels que la création d’Urssaf régionales ou les évolutions régulières de la réglementation. Elle doit faire évoluer ses processus et ses outils pour satisfaire toujours mieux les besoins, d’une part, des usagers, et d’autre part des organismes du réseau. Elle doit donc développer et mettre à disposition des outils performants et adaptés ».
Jean Baptiste Courouble, directeur maitrise d’œuvre du programme de rénovation de l’Acoss, précise : « L’un des enjeux techniques de notre programme est de tirer le meilleur parti des technologies actuelles en vue de garantir la souplesse du système d’information tout en assurant la robustesse indispensable au regard de la criticité des enjeux économiques et financiers. Ce double objectif conditionne les choix souvent réalisés autour de solutions issues du monde du logiciel libre permettant notamment de favoriser l’interopérabilité avec les SI des partenaires tels que Pôle Emploi ou le RSI. C’est un formidable challenge pour nos équipes, et une opportunité de collaboration étroite avec nos prestataires». 

Les Nouvelles Cliniques Nantaises garantissent la haute disponibilité des dossiers patients

A lire sur:  http://www.decideur-public.info/article-les-nouvelles-cliniques-nantaises-garantissent-la-haute-disponibilite-des-dossiers-patients-105199394.html

Mardi 15 mai 2012
NCN.jpg Situées sur le site du confluent à Nantes, les Nouvelles Cliniques Nantaises (NCN) figurent parmi les principaux pôles de santé privés en France. Les NCN assurent une offre de soins complète permettant la prise en charge de la chirurgie, de la médecine et des urgences avec environ 120 praticiens spécialistes et 700 salariés. Cet établissement privé, doté de 414 lits et places, a accueilli l’an dernier près de 68 000 patients. Afin de garantir une prise en charge de qualité, le fonctionnement du centre repose sur un protocole « Remote Desktop Service » de Microsoft, permettant au personnel d’accéder à distance à tous les applicatifs métiers liés au dossier médical. « Il s’agit de la pierre angulaire de notre système d’information hospitalier puisque celui-ci permet notamment aux médecins et soignants d’avoir accès aux données médicales de tous les patients, comme leurs antécédents médicaux », explique Anthony Duhil, Manager IT au sein de NCN. « Nous recherchions donc une solution performante et fiable pouvant assumer la haute disponibilité des informations, via l’équilibrage de charge entre les différents serveurs, et être à la hauteur de cet enjeu de taille », explique-t-il.
La simplicité d’utilisation et la performance figuraient parmi les principaux critères de sélection. La solution Virtuel LoadMaster 100 de la société Kemp a ainsi été sélectionné, offrant une installation simplifiée et rapide avec les mêmes fonctionnalités et bénéfices qu’une solution matérielle. Le coût de cette solution, de 1 300 € HT, était également intéressant au regard des performances. « Nous avons téléchargé une version d’évaluation depuis le site Internet de Kemp, ensuite mise en pré-production pour une période de 30 jours. La solution a tout de suite très bien fonctionné et satisfait tous les utilisateurs. Outre ses performances, la valeur ajoutée a résidé dans le fait que nous sommes partis d’une appliance et d’une machine virtuelles que nous avons pu mettre en place de façon quasi immédiate sur notre plateforme de virtualisation », commente Anthony Duhil.
En effet, cet essai au préalable de l’achat de la licence a représenté un véritable gain de temps et d’argent pour l’utilisateur. Dès accord budgétaire, NCN s’est rapproché du distributeur Intexan pour obtenir ensuite la licence d’utilisation le mois suivant. « Nous avons donc pu tester la solution à moindre coût puis passer immédiatement en production, sans nécessiter une intégration lourde et effectuée par un prestataire, comme pour d’autres produits de load balacing classiques. Kemp  nous avait même proposé de prolonger la période d’essai, le temps de la migration pour assurer une continuité de notre système », ajoute Anthony Duhil.
 

Dell rachèterait Quest Software, spécialiste de la sécurité des réseaux


Logo Dell
Le constructeur américain Dell serait en discussion pour racheter l'éditeur Quest Software, développant des solutions de gestion d'applications.

Au mois de mars le fond privé Insight Venture Partners avait accepté de racheter Quest Software pour 2 milliards de dollars. Selon le magazine Bloomberg, Dell ferait partie de l'une des sociétés actuellement en discussion pour racheter l'éditeur. Ces deux dernières années, Dell a réalisé plus d'une quinzaine d'acquisitions afin de renforcer son porte-feuille de services professionnels. La dernière d'entre elle date du début du mois avec le rachat de SonyWALL.

L'année dernière, les revenus de Quest Software se sont élevés à 887 millions de dollars avec des profits nets de l'ordre de 44 millions de dollars. La société est spécialisée dans les systèmes de gestion d'applications pour les entreprises. Parmi les solutions proposées par Quest Software, nous retrouvons Toad et SharePlex, permettant d'automatiser certaines tâches sur une base de données de type Oracle ou de répliquer cette dernière. L'éditeur possède également des outils de gestion pour Microsoft Sharepoint et Exchange. Parmi les autres repreneurs potentiels, les analystes avaient donc logiquement tablé sur Oracle, Microsoft.

La société Quest Software est aujourd'hui valorisée à 2,12 milliards de dollars.

mardi 29 mai 2012

Pour augmenter la bancarisation, il faut penser innovation


A lire sur:  http://www.atelier.net/trends/articles/augmenter-bancarisation-faut-penser-innovation

Par Renato Martinelli 25 mai 2012 Femme avec un smartphone
Comment augmenter le taux de bancarisation dans les pays émergents ? Huit leviers potentiels permettent d'y parvenir, parmi lesquels la technologie : le mobile, les cartes prépayées facilitent l'accès aux consommateurs dits pauvres.
Dans les pays émergents, le taux de bancarisation est encore faible. Mais les perspectives de croissance sont plutôt très prometteuses. Pour y parvenir rapidement, Oliver Wyman propose huit leviers permettant aux institutions bancaires de séduire et d'intéresser les personnes non bancarisées. Parmi ces leviers, on trouve évidemment la technologie. Pourquoi ? Parce que ces dernières, via des solutions très plébiscitées ces dernières années, permettent de mettre au point des solutions donnant la possibilité d'atteindre une clientèle via des services d'abord basiques, puis de plus en plus complexes et faisant partie du cœur de métier de la banque, comme le crédit. Des solutions comme le mobile banking ont ainsi déjà trouvé largement leur marché, par exemple, côté transfert d'argent, avec M-Pesa au Kenya, ou côté m-paiement et carte prépayée avec M-Cash au Brésil. Selon le rapport, les banques ont aussi tout intérêt à s'intéresser à des systèmes qui sensibiliseraient les populations à des plates-formes innovantes et les encouragerait à les utiliser. Cela, afin de faciliter l'utilisation ensuite de sites bancaires.

Une stratégie globale

Il donne comme exemple à suivre la carte UID du Gouvernement indien qui attribue aux citoyens un numéro unique - qui ne remplace les précédents comme le numéro de passeport mais y est rattaché, créant ainsi une base de données complète - et qui peut-être relié à une carte bancaire. Le tout, sur la base du volontariat. Toutefois, ceux qui ne choisissent pas cette option se voient de facto refuser les systèmes qui requièrent ce numéro. Autre levier : les données clients. Car l'investissement dans des outils permettant de récolter et gérer ces données donne la possibilité de mieux connaître son public pour développer des produits adaptés ou adopter une approche prospective. D'autres leviers sont proposés, parmi lesquelles la sous-segmentation des clients pour le développement de stratégies ou encore la proposition de produits bancaires évoluant avec les besoins changeants de ces segments. Un cinquième levier est ensuite de faire tomber les barrières entre la banque de détail et la banque d'investissement permettant des ventes croisées. Enfin, les trois derniers leviers sont le management des équipes internes grâce à une stratégie centrée sur le talent, l'amélioration de la qualité des opérations, du back office et des infrastructures et la mise à jour des infrastructures de gestion du risque.

Des difficultés à prévoir

Il faut noter, par ailleurs, qu'une stratégie est notamment recommandée pour la banque de détail, principal conducteur de croissance dans ces territoires. Un secteur qui pourrait apporter 1 milliard de nouvelles personnes "bancarisables" dans la prochaine décennie, dont la Chine et l'Inde forment 70%. Néanmoins des incertitudes demeurent. D'abord, la croissance attendue d'un pays peut ne pas se vérifier, comme ce fut le cas en Argentine. De la même façon, la croissance pourrait s'avérer moins importante que prévue. Ensuite, ces pays émergents pourraient connaître d'importantes bulles dans les marchés, comme ce fut le cas au Japon, ou comme cela apparaît actuellement au Brésil et en Turquie avec une bulle immobilière. Enfin, une dernière difficulté à prévoir demeure la réglementation des gouvernements et des régulateurs qui influenceront le développement des banques et des produits sur ces marchés.

La jeunesse indienne, résolument connectée, sociale et mobile


A lire sur:  http://www.atelier.net/trends/articles/jeunesse-indienne-resolument-connectee-sociale-mobile

Par L'Atelier - Paris 25 mai 2012 Jeune fille avec un mobile
En Inde, la génération Y embrasse les nouvelles technologies. Friands de réseaux sociaux, et surtout de Facebook, ils semblent également porter leur attention sur les technologies mobiles.
Pour les jeunes générations indiennes, le web se vit résolument de manière sociale et mobile. Selon une étude menée par TCS auprès de plus de 12 300 lycéens de 12 villes d'Inde, 85% des interrogés utilisent Facebook, qui est de plus en plus le réseau social le plus diffusé. Ainsi, un tiers des personnes ayant répondu à l'enquête déclarent que Facebook est leur site préféré. En comparaison, Twitter n'est considéré que par un tiers des étudiants, avec seulement 1% qui le considère comme son site préféré. On note également que, dans les métropoles plus petites, des plates-formes plus locales telles que Apnacircle, iBibo et Hi5 sont plus populaires que dans les grandes villes. Quel que soit le site, le mode d'accès est pour sa part majoritairement nomade.

Une population mobile

Et pour cause, huit personnes interrogées sur dix possèdent un mobile. Parmi eux, cinq personnes sur dix l'utilisent pour accéder à internet. Un constat qui est corroboré par les 50% d'étudiants affirmant qu'ils utilisent leur PC portable pour naviguer sur le web, même si 68% de l'échantillon utilisent des ordinateurs fixes. On note, enfin, qu'une nouvelle tendance en matière de mobilité émerge, à savoir l'usage de la tablette, répandu parmi 14% des personnes interrogées. D'ailleurs, la mobilité change également le domaine du divertissement. Par exemple, moins de 1% de l'échantillon considère la télévision comme son gadget préféré, lui préférant le téléphone mobile (28%), ou même la console de jeu portable pour (45% en métropole, 16% en petite métropole).

Des étudiants attachés au clavier

Autre habitude de la jeune génération urbaine indienne : l'écrit au profit de l'oral. Car 55% de ces jeunes en métropole affirment utiliser le SMS comme principal moyen de communication, suivi par la messagerie instantanée (45%) et les réseaux sociaux (34%). Dans les villes plus petites où la connectivité est de moins bonne qualité, l'utilisation de l'e-mail domine (55% en petite métropole contre 34% en grande métropole). Fait intéressant : cet engouement pour la technologie a une influence sur la carrière suivie ensuite : l'informatique est le premier secteur de carrière désiré (34%), suivi par l'ingénierie (29%) et la médecine (11%).

La consumérisation, le nouveau cauchemar de la DSI ?

A lire sur:  http://www.atelier.net/trends/chronicles/consumerisation-nouveau-cauchemar-de-dsi

Guillaume Plouin

Guillaume Plouin

Responsable de l'offre Cloud Computing et Auteur de “Cloud Computing” chez Dunod, 2011 - OCTO Technology
Télécharger25 mai 2012  
Après l'offshore et le Cloud Computing, le mouvement BYOD pourrait former la nouvelle bête noire des directions informatiques.

De plus en plus d’entreprises, en particulier des startups/PME, laissent leurs employés utiliser les outils qu’ils choisissent. Cela, afin de maximiser leur efficacité, mais aussi parce qu'ainsi ils prennent plus soin de leur matériel, et parfois enfin pour leur éviter de transporter deux téléphones. Cette tolérance introduit une grande confusion des genres : usage d'applications professionnelles à la maison, d'outil personnels au travail... Utiliser le BYOD signifie laisser des appareils non maîtrisés accéder au SI de l’entreprise : outils de collaboration, Intranet, serveur de fichier. Ils créent des risques d’introduction de virus et chevaux de Troie, de fuites de données. On pourra tenter de contrôler ces appareils. Mais certains, comme les tablettes ou les smartphones Apple, sont impropres à une gestion centralisée par l’entreprise.
Des problématiques de sécurité 
Ils font cohabiter applications personnelles et professionnelles. Il est ardu d’y télé-distribuer des applications. La propriété des logiciels y est atypique : selon les CGU Apple, les logiciels achetés sur l’AppStore par l’entreprise deviennent la propriété des utilisateurs des appareils. De plus les applications pour appareils mobiles sont largement adossées à des Clouds comme Dropbox ou iCloud pour le stockage, et pour l’aspect "device agnostic" : elles incitent donc les utilisateurs à déporter leurs données sur des espaces non homologués par la DSI. Nos utilisateurs deviennent donc autonomes sur leur matériel (BYOD) et leurs applicatifs (SaaS). La DSI se voit ainsi grignotée par les deux extrémités : interfaces utilisateurs d’un côté, et applications de collaboration de l’autre.
Une perte de périmètre
Ce phénomène tend à réduire le spectre d'intervention : l’informatique dite de commodité leur échappe peu à peu... La DSI peut-elle faire le deuil des postes de travail standardisés ? Le RSSI peut-il assouplir ses règles pour faire gagner les utilisateurs en productivité ? Ou bien les utilisateurs vont-ils se créer un SI parallèle ? BYOD et Cloud ont un bénéfice indéniable : recentrer la DSI sur les applications stratégiques. Le reste est une question de confiance. J’ai la conviction que le "pari de la confiance" était la solution gagnante pour l’entreprise. Traiter les employés comme des adultes responsables les incitent à plus d’initiative, et crée de la motivation. le contrôle des activités par des dispositifs techniques est selon moi une pratique obsolète et contre productive.

Les collaborateurs inquiets des modifications apportées par la consumérisation ?

A lire sur:  http://www.atelier.net/trends/files/collaborateurs-inquiets-modifications-apportees-consumerisation

Le fait de travailler indistinctement au bureau ou en mobilité avec des appareils mobiles et plus particulièrement personnels commence à devenir une norme. Mais si elle a été réclamée par les salariés, elle est aussi pour eux source d'interrogations quant à l'évolution de leurs métiers.
Homme en train de réfléchir
L'Atelier s'est fait l'écho, à plusieurs reprises, de la tendance des salariés à utiliser leurs propres appareils dans le cadre de leur travail et surtout de l'adaptation des entreprises face à ce phénomène. Une nécessité, vu l'ampleur de cette tendance aujourd'hui largement diffusée. Mais qui implique de repenser en profondeur l'organisation du travail, pour le meilleur comme pour le pire. Car le phénomène Bring Your Own Device pose de nouvelles conditions. Certes, cela permet aux collaborateurs de travailler en situation de mobilité, d'augmenter leur productivité, de faciliter de nouvelles façons de travailler comme le travail à distance ou encore d'améliorer la collaboration. Mais le fait que les salariés travaillent à partir de leurs appareils nécessite une préparation en amont. On pense, par exemple, aux répercussions que cela implique, comme le développement d'une frontière de plus en plus floue entre les différentes vies d'une personne. Si un salarié consulte ses e-mails professionnels une fois chez lui mais consulte son profil privé sur un réseau social au travail, la question de l'existence d'une séparation entre vie privée et vie professionnelle se pose.

Une préparation insuffisante ?

L'autre grande questions est la capacité des services informatiques à gérer la situation. Autrement dit : sont-ils prêts à faire face cette tendance ? En effet, d'un point de vue technique, il faut nécessairement s'adapter tant au matériel qu'aux nouvelles conditions de travail. Car pour collaborer, il faut bien que les salariés aient accès à un outil dédié. Ce phénomène n'est d'ailleurs pas non plus sans poser des questions de sécurité, notamment sur la façon dont il faut gérer la sortie de données sensibles sur un appareil qui n'appartient pas à l'entreprise. D'ailleurs, le fait qu'un individu veuille travailler sur son smartphone ou sa tablette ne signifie pas, pour autant, qu'il sache le faire. Dès lors, une organisation doit prendre en compte une certaine forme d'incertitude ou de méconnaissance du sujet, y compris de la part de ceux qui y sont au cœur. Quel périmètre de formation ? Quel coût ? Comment s'assurer du bon fonctionnement des solutions ? Autant d'interrogations pour lesquelles il n'existe pas de recette. Il n'en demeure pas moins que ces questions doivent trouver leurs réponses à un phénomène déjà en place. La question n'est donc pas de savoir si l'on s'y adapte. Mais bien de savoir comment le faire.

Le trafic web depuis la tablette dépassera celui du smartphone en 2013

A lire sur:  http://www.tablette-tactile.net/etudes/le-trafic-web-depuis-la-tablette-depassera-celle-du-smartphone-en-2013-123479/?utm_source=Newsletter+Tablette-Tactile.net&utm_medium=email&utm_campaign=b0bdf8c031-RSS_EMAIL_CAMPAIGN

Une étude menée par Adobe révèle que le trafic web depuis les tablettes explose avec +300% par rapport à l’année dernière. 
Nous le savons tous, le marché des tablettes tactiles est encore à ses débuts mais sa progression est maintenant bien enclenchée. Les marques sont de plus en plus nombreuses à proposer des tablettes de plus en plus abouties et le nombre d’utilisateurs ne fait que croitre. Logiquement les études révèlent des chiffres qui vont dans ce sens.
Ainsi grâce à la dernière étude Adobe Digital Index on apprend que :
  • l’utilisation des tablettes pour naviguer sur le web a augmenté presque 10 fois plus vite que celle des smartphones et a connu un taux de croissance supérieur à 300% l’année dernière.
  • En 2013 la part des tablettes utilisées pour surfer dépassera celle des smartphones.
  • En 2013, 10% du trafic mondiale sera effectué sur les tablettes.
Logique puisqu’il est beaucoup plus agréable de consulter un site Internet depuis sa tablette que depuis l’écran de son smartphone, la plupart du temps trop petit (même si des modèles comme le Galaxy Note pourraient peut être inverser la tendance). Cependant il faut nuancer ces propos puisque les internautes utilisent toujours trois fois plus leurs ordinateurs pour surfer.
Tout cela ne fait que confirmer les enjeux importants (notamment pour les entreprises et leurs stratégies mobiles) liés à l’explosion des terminaux mobiles comme les tablettes.
Cette étude a été menée grâce à l’analyse de 23 milliards de visites sur 325 sites web du monde entier (Amérique du Nord, Europe occidentale et Asie). Vous pouvez consulter l’étude complète ici.

Le BYOD entre progressivement dans les mœurs

A lire sur:  http://www.ictjournal.ch/fr-CH/News/2012/05/25/Le-BYOD-entre-progressivement-dans-les-murs.aspx

25.05.2012 16:39  (Yves Bonzon)
Nouveaux modes de travail

Le BYOD entre progressivement dans les mœurs

Mobile Device
Une étude menée aux Etats-Unis par Cisco montre qu’il est de plus en plus considéré comme allant de soi que d’apporter son propre ordinateur ou appareil mobile sur sa place de travail pour y exécuter des tâches professionnelles.
Sur les 600 décideurs IT interrogés par l’enquête «BYOD and Virtualization», 570 déclarent avoir recours au Bring Your Own Device (BYOD) dans leur entreprise, et 76% considèrent cette tendance comme «assez» ou «très» positive. Les sondés estiment ainsi que travailler avec son terminal personnel est source d’une meilleure productivité et d’une plus grande satisfaction pour les employés. L’étude affirme par ailleurs que les collaborateurs seraient prêts à payer en moyenne jusqu’à 600 dollars de leur poche pour pouvoir travailler sur les appareils de leur choix.

Des nouveaux défis pour les responsables IT

L’étude porte aussi l’attention sur les nouveaux défis que ce mode de travail pose aux responsables IT, qui doivent trouver des solutions assurant l’extensibilité, la mobilité, la sécurité, la virtualisation, définir des lignes directrices, et garder la maîtrise de leurs coûts. Les analystes de Cisco Internet Business Solutions Group (IBSG) estiment enfin que dans deux ans, chaque employé utilisera 3,3 appareils mobiles différents, chacun connecté au réseau de son employeur, alors qu’il en utilise 2,8 actuellement. Dans ce contexte, il paraît nécessaire que les entreprises mettent sur pied des concepts de mobilité, afin de maîtriser cette multiplication de connexions mobiles.

Les avantages de la virtualisation

L’étude révèle par ailleurs que deux tiers des responsables interrogés voient en la virtualisation des environnements une alternative aux desktops physiques, alors que la moitié de ces responsables déclarent déjà orienter leur stratégie IT vers des solutions de virtualisation, soulignant notamment le potentiel d’économies en coûts de hardware. En fonction des tâches d’un travailleur, l’étude estime finalement que le potentiel d’économie générée par le BYOD peut atteindre annuellement de 300 à 1300 dollars par collaborateur.

Mobile Local Monetization: How & Where is it Happening?

A lire sur:  http://searchenginewatch.com/article/2179775/Mobile-Local-Monetization-How-Where-is-it-Happening?wt.mc_ev=click&WT.tsrc=Email&utm_term=&utm_content=Mobile%20Local%20Monetization%3A%20How%20%26%20Where%20is%20it%20Happening%3F&utm_campaign=05%2F25%2F12%20-%20SEW%20Daily&utm_source=Search%20Engine%20Watch%20Daily&utm_medium=Email

,  
Click here to find out more!
empty-pocketsOf all the topics in the hot mobile location space, mobile monetization seems to be the biggest question mark.
Though ad networks and search engines like Google see real revenue, mobile local leaders like Foursquare and Yelp haven't done much direct monetization. That's despite building large communities of mobile users - or perhaps because of it, as they're averse to stunt user growth with premature monetization.
Take Yelp: It's done a great job migrating its usage and brand equity into mobile. Its mobile apps accounts for about 10 percent of monthly unique users. But interestingly, that 10 percent accounts for a disproportionately high 40 percent of searches Yelp sees across the board.
That says a lot about its monetization opportunity. Looking at it a different way, as more users engage the service from an access point that isn't monetized, revenue per user will theoretically go down. That's the same challenge Facebook now famously faces (more on that in a bit).

Taking Form

So how will mobile local monetization materialize? Because I can't speak directly for Yelp, Foursquare, Facebook, I'll outline a few foundational elements for mobile monetization which many players could (as some already have) build on.
Since the mobile device, is after all a phone, the progression from high-intent driven search, to qualification, to placing a phone call is a natural one. Pay per call is something that will therefore find a home in mobile much more than it did on the desktop.
Google and others have already gone down this path, while showing strong performance for both call and click rates when localized content (including phone numbers) are present in ad copy. xAd and Duda Mobile meanwhile report high call rates from mobile ads and landing pages.
Another monetization model will involve what Foursquare provides for free; a dashboard for businesses to launch and manage local deals and loyalty programs. The goal here is to drive trackable promotions and dynamic demand generation.
This opens the opportunity to verticals where there's time sensitivity or perishable inventory (think restaurants). It then straddles local advertising and yield management, especially when bundled with things like scheduling tools, as Groupon has developed.
A third model will be the development, optimization and hosting of mobile websites for small businesses (and large businesses for that matter). This ties to the fact that increasing levels of mobile search occurs, while mobile websites are woefully under-optimized.
Duda Mobile reports that less than 2 percent of websites are optimized for mobile screens. This mostly entails layout, touch-friendliness, and the calls to action that properly capture the local user intent that is inherent in mobile search.
This opportunity also falls within the field of presence management. As consumers are coming across a fragmented universe of sources to make local purchase decisions, the need to be present across these channels grows. This will increasingly include the mobile web.
Some of the above will be provisioned directly by savvy SMBs. But it mostly represents an opportunity for agencies and resellers. And for the same fragmentation point just mentioned, those who can offer simplicity and "one-stop-shop" appeal will have a leg up.

Wild Card

The wild card in all of this is Facebook. We’re hearing lots about its undefined mobile monetization and how that's causing uncertainty in its valuation.
The opportunity is massive when you consider that half of Facebook's 900 million global users are monthly active mobile users. But as was mentioned above for Yelp, its revenue per user faces downward pressure if it doesn't directly monetize those users.
So Facebook moves in mobile monetization will be huge -- not just for its own ability to reconcile a massive valuation, but the implications for the rest of the market. In other words, its sheer size dictates that what it ends up doing will greatly influence the state of the art in mobile ads.
This will come about as it acclimates both users and advertisers to different forms of mobile ads. That will go a long way in shaping these constituents' view and comfort levels with mobile advertising, therefore signaling where industry standards will develop.
So far that's taken form in its Sponsored Stories ad units. This is a natural fit for smaller screens where banner ads don't play as well. It's also an organic placement that allows advertisers to pay for distribution of conversations that are already happening among users.
That's where things will start, but they'll evolve a great deal. Look out for a more robust "off-site" ad network (in mobile and desktop). Here Facebook will use Open Graph data to serve ads in a targeted fashion for other publishers, a la AdSense. And watch for moves in mobile payments too.
Whatever Facebook does in mobile monetization, watch closely as it will have far reaching implications for the directions the rest of the market will follow. That goes for both location based mobile advertising, and all other forms.