jeudi 16 février 2012
On peut également suivre sur trois ans l’importance revêtue par cette implication de par l’enjeu autour de la lisibilité et la visibilité des services rendus par l’existant, seul moyen pour la DSI de pouvoir pondérer la pression toujours constante sur les réductions de coûts au regard de la valeur ajoutée apportée pour l’entreprise. En 2010, nos répondants étaient 42% à estimer que la visibilité/traçabilité du service rendu par l’existant était à améliorer de beaucoup à entièrement.
De même, on notera une prise en compte progressive, d’une certaine manière du « développement durable » du SI. En effet, les entreprises ont amélioré sur trois ans leur prise en compte de l’existant.
On constate cela d’une part au niveau de l’inventaire du patrimoine applicatif du SI, car le pourcentage d’entreprises n’en réalisant aucun diminue tandis que des inventaires plus réguliers sont mis en place. D’autre part, au niveau des études avant refonte, elles sont plus souvent réalisées et en suivant une méthode définie.
Autre évolution à observer, la mise en place de plan de reprise d’activité systématique pour les systèmes critiques. Si en 2010 et en 2011, c’était loin d’être généralisé, la tendance semble s’inverser dans cette dernière enquête.
http://www.infodsi.com/tribune/128976/vers-lisibilite-service-rendu-systeme-information-sabine-bohnke-fondatrice-cabinet-sapientis.html?key=
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