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Edition du 23/10/2012 - par Bertrand Lemaire
Optimiser les dépenses informatiques, ce n'est pas seulement les réduire. Il faut aussi augmenter la valeur produite pour le même coût. La direction des achats accompagne alors la DSI afin qu'elle soit gérée comme une entreprise autonome.
Edition du 23/10/2012 - par Bertrand Lemaire
Optimiser les dépenses informatiques, ce n'est pas seulement les réduire. Il faut aussi augmenter la valeur produite pour le même coût. La direction des achats accompagne alors la DSI afin qu'elle soit gérée comme une entreprise autonome.
Après des années de crise, il est encore possible d'optimiser les
dépenses informatiques. Surtout, optimiser n'est pas que réduire les
coûts. La création de valeur supplémentaire pour un prix identique est
aussi demandée.
Chaque entreprise prend le taureau par les cornes et déploie des modes de travail adaptés. Massification des achats, sourcing diversifié, et suivi des budgets sont mobilisés. C'est ce que l'on constate à l'écoute de responsables IT de Crédit Agricole Corporate and Investment Bank (CACIB), BNP Paribas Investment Partners, La Mutuelle Générale, le GIE MMA SI, le Service des achats de l'État et le laboratoire de biotechnologies Ipsen.
Gérer une DSI comme une entreprise
Crédit Agricole Corporate and Investment Bank (CACIB) a réduit son budget IT de près de 100millions d'euros par an. Eric Baudson, Directeur des opérations de CACIB témoigne de l'expérience de son entreprise sur la convergence de pratiques pour piloter le budget de la DSI.
Le premier constat qu'il convient de faire, c'est bien sûr que le DSI se doit d'être un gestionnaire comme les autres. « Quand on y réfléchit, la DSI est une petite entreprise et on doit y gérer un bilan, avec d'un côté des actifs, c'est-à-dire le système d'information, l'expérience acquise, etc., et de l'autre un passif, c'est-à-dire l'obsolescence, la dette technique, etc. » explique Eric Baudson.
Et comme toute entreprise, la DSI doit gérer son compte d'exploitation où, chaque année, les charges augmentent. Cette augmentation provient de l'accroissement des besoins - en espace de stockage par exemple - et de la gourmandise des fournisseurs qui augmentent leurs prix. Eric Baudson avertit : « il faut limiter cette tendance des budgets à (...)
Lire la suite dans CIO.PDF 56
Ce dossier comprend les témoignages de : Eric Baudson (Crédit Agricole Corporate and Investment Bank), Pierre-Yves Argoud (BNP Paribas Investment Partners), Eve Dos Santos (La Mutuelle Générale), Eric Heissat (GIE MMA SI), Hervé Le Dû (Service des achats de l'État), Audrey Nouillant (Ipsen)
Chaque entreprise prend le taureau par les cornes et déploie des modes de travail adaptés. Massification des achats, sourcing diversifié, et suivi des budgets sont mobilisés. C'est ce que l'on constate à l'écoute de responsables IT de Crédit Agricole Corporate and Investment Bank (CACIB), BNP Paribas Investment Partners, La Mutuelle Générale, le GIE MMA SI, le Service des achats de l'État et le laboratoire de biotechnologies Ipsen.
Gérer une DSI comme une entreprise
Crédit Agricole Corporate and Investment Bank (CACIB) a réduit son budget IT de près de 100millions d'euros par an. Eric Baudson, Directeur des opérations de CACIB témoigne de l'expérience de son entreprise sur la convergence de pratiques pour piloter le budget de la DSI.
Le premier constat qu'il convient de faire, c'est bien sûr que le DSI se doit d'être un gestionnaire comme les autres. « Quand on y réfléchit, la DSI est une petite entreprise et on doit y gérer un bilan, avec d'un côté des actifs, c'est-à-dire le système d'information, l'expérience acquise, etc., et de l'autre un passif, c'est-à-dire l'obsolescence, la dette technique, etc. » explique Eric Baudson.
Et comme toute entreprise, la DSI doit gérer son compte d'exploitation où, chaque année, les charges augmentent. Cette augmentation provient de l'accroissement des besoins - en espace de stockage par exemple - et de la gourmandise des fournisseurs qui augmentent leurs prix. Eric Baudson avertit : « il faut limiter cette tendance des budgets à (...)
Lire la suite dans CIO.PDF 56
Ce dossier comprend les témoignages de : Eric Baudson (Crédit Agricole Corporate and Investment Bank), Pierre-Yves Argoud (BNP Paribas Investment Partners), Eve Dos Santos (La Mutuelle Générale), Eric Heissat (GIE MMA SI), Hervé Le Dû (Service des achats de l'État), Audrey Nouillant (Ipsen)
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