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jeudi 28 juin 2012

La multiplication des données, perçue comme un avantage pour les PME


A lire sur:  http://www.atelier.net/trends/articles/multiplication-donnees-percue-un-avantage-pme

Par L'Atelier - Paris 28 juin 2012 Big Data
Les entreprises reconnaissent l'utilité des données nombreuses, y compris les petites et moyennes. Elles en attendent même beaucoup. Chacune ayant sa propre stratégie, mais également sa propre définition
Nombreux sont les avantages du Big Data reconnus par les cadres des entreprises. Mais pas uniquement des grandes entreprises internationales, si l'on en croit une étude menée par Harris Interactive pour SAP AG auprès de cadres, dont 60% gèrent des entreprises de cinq cent millions de dollars ou moins de revenus annuels. Et pour cause, 76% de ces répondants voient dans les Big Data une opportunité pour leur entreprise. Et ce, pour les bénéfices qu'apporte cette tendance. Et notamment la baisse des coûts informatiques pour 50% des cadres interrogés, le gain en agilité de l'entreprise (48%) et le fait d'attirer et de retenir des consommateurs (46%). Raisons pour lesquelles 70% des cadres attendent un retour sur investissement dans les données dans l'année à venir.

Quelles approches ?

Néanmoins, et si le Big Data semble faire consensus, les stratégies adoptées par les entreprises sont différentes. Notamment au regard de l'informatique dans les nuages, jugé comme un outil efficace pour la gestion de ces données. En effet, 64% des personnes interrogées affirment que leur entreprise utilise les technologies cloud dans une certaine mesure. Parmi eux, 38% l'utilisent uniquement pour stocker et gérer les grosses données. Par ailleurs, 27% de ceux qui recourent au cloud compiuting ont cité l'utilisation de nuages privés ou de fermes de serveurs externes à l'entreprise et 11% ne font que stocker leurs données via un serveur public. Enfin, 26% des cadres répondant à l'étude utilisent un entrepôt hybride. A noter, par ailleurs, que 90% des cadres jugent l'accès à distance immédiat important, dont 57% absolument essentiel ou très important.

Qu'est ce que le Big Data ?

Des approches légèrement différentes qui ne sont pas sans lien avec la conception qu'ont ces cadres des Big Data. Car leur définition du phénomène diffère. Pour 28% d'entre eux, le Big Data est la croissance massive d'échange de données. Suivi par les nouvelles technologies qui répondent aux défis de volume, de variété et de rapidité des grosses données (24%), les exigences importantes en matière de stockage et d'archivage des données pour la conformité réglementaire (19%). Ou encore l'augmentation de nouvelles sources de données (mobile, réseaux sociaux, etc.) (18%) pour les principales définitions.

jeudi 21 juin 2012

Le rôle des médias sociaux dans la culture d'entreprise divise dirigeants et salariés


A lire sur:  http://www.atelier.net/trends/articles/role-medias-sociaux-culture-entreprise-divise-dirigeants-salaries

Par L'Atelier - Paris 20 juin 2012 boss arguing
Pour les responsables, les réseaux internes aident à construire une culture commune. Un constat moins partagé par les collaborateurs, qui les considèrent plus comme un simple outil.
Les dirigeants et les salariés n'auraient pas la même vision de l'utilisation des médias sociaux dans l'entreprise, révèle une étude commanditée par Deloitte, cabinet d'audit et de conseil, et réalisée par Harris Interactive. La source de divergence se trouverait majoritairement dans l'influence de ces médias sur la culture même de l'entreprise. Ainsi, l'étude révèle que 41% des dirigeants estimeraient que les réseaux sociaux aident à la fois à construire et à maintenir une culture commune au sein de leur entreprise contre seulement 21% des salariés. Preuve donc que la culture d'entreprise pourrait être également une question de point de vue ? Peut être, quand on sait que les dirigeants se disent à 45% confiants quant aux effets positifs des médias sociaux sur l'environnement de travail. Un chiffre qui retombe à 27% pour les salariés.

Une culture qui devrait passer par l'humain

De même, les plus hauts échelons hiérarchiques estimeraient que l'usage de ces médias instaurerait une véritable transparence dans la gestion de l'entreprise. Ils seraient en effet 38% à penser cela. Un avis partagé par seulement 17% pour les salariés. Et ces divergence d'opinions s'expliqueraient, selon Punit Renjen, président du conseil d'administration de Deloitte, par le fait que "les dirigeants utilisent les médias sociaux comme levier de création d'une culture et pour apparaître accessibles". Et d'ajouter : "Or, bien qu'il soit important de se tenir au courant des moyens de communication, il faut également connaître les limites de telles technologies". Il rappelle en effet que les normes d'instauration d'une culture d'entreprise n'ont pas changé et qu'elles nécessitent avant tout de construire une relation à travers des réunions en face-à-face, des appels téléphoniques directs et des messages personnels.

Regarder dans la même direction ?

Ce qui devrait d'abord passer par une vision commune des objectifs de l'entreprise. Or, selon le rapport, ce n'est pas encore le cas actuellement dans toutes les entreprises. Ainsi, bien que la culture d'entreprise restent pour une majorité de sondés, tout échelon confondu, l'élément le plus important pour le succès de l'entreprise, reste que 76% des dirigeants privilégient en premier lieu la stratégie commerciale par rapport au partage de valeurs communes (62%). Alors qu'à leur différence les salariés estiment les deux facteurs équivalents en ce qui concerne la réussite de l'entreprise avec respectivement 57% et 55%. Et pour Punit Renjen, "pour être une organisation remarquable dans le climat actuel des choses, il est nécessaire d'articuler autour, d'investir et de soutenir plus que jamais la culture d'entreprise". Et de conclure : "Car si correctement prise en charge, celle-ci va transcender toutes les modifications de l'environnement, et servir de fondement pour la viabilité organisationnelle et la croissance".