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samedi 2 juin 2012

DOSSIER : Les promesses du cloud privé

A lire sur:  http://dsi.silicon.fr/dossiers/1-les-promesses-du-cloud-prive-2039

L’informatique d’entreprise aussi simple que le Web ? Le cloud privé ouvre la route vers l’IT as a Service avec des catalogues de services et une l’infrastructure automatisée. Six articles de fond pour mieux comprendre ces enjeux.
Sur le Web, il est possible, en quelques clics, de créer des comptes e-mail, de créer un groupe de travail partagé, d’organiser des conférences (texte, audio ou vidéo)…
Et tout cela sans avoir à connaître l’informatique ou à se préoccuper de l’infrastructure sous-jacente.
Les collaborateurs de l’entreprise, également utilisateurs de ces services en ligne, souhaiteraient légitimement obtenir une simplicité identique dans leur travail quotidien.
Telle est la promesse du cloud privé, qui utilise les technologies du cloud computing dans l’enceinte de l’entreprise.
Le cloud privé efface la complexité
Le cloud privé efface la complexité
Simplifier la vie des utilisateurs, et des informaticiens
Prenons deux exemples. Un nouveau développement applicatif nécessite un environnement complet de test de préproduction. Le développeur se rend sur sa page personnalisée du portail interne de l’entreprise, et clique sur l’icône “Services informatiques”. Dans la liste, il choisit “monter un serveur de test” et choisit quelques options. Son environnement est automatiquement prêt en quelques minutes.
Autre exemple. Pour quatre nouveaux employés, le chef comptable nécessite un accès à l’ERP et un compte e-mail. Sur son portail personnalisé, il clique sur “ajouter des comptes ERP”, et le système lui propose les noms de nouveau arrivés. Immédiatement, les quatre accès sont immédiatement ouverts. Une opération identique lui permet de créer quatre nouveaux comptes e-mail en quelques secondes.
Imaginez que tous les services informatiques dans l’entreprise soient aussi efficaces : demande d’accès à un programme, demande de fourniture, partage momentané de documents avec un groupe d’utilisateur, demande d’accès WiFi momentanée pour un prestataire, interventions informatique lors du départ d’un collaborateur… Et tout cela facturé au juste prix avec un engagement sur la qualité du service de la part de la DSI. Telle est la promesse du cloud privé.
Si les technologies cloud sont si prometteuses, c’est qu’elles permettent également une telle efficacité pour l’envers du décor : au niveau de l’infrastructure.
De même que les demandes informatiques des utilisateurs sont ramenées à de simples services activables en quelques clics (sans jargon informatique), les informaticiens disposent d’un portail de services techniques. À ce niveau, les technologies clouds apportent des réponses enfin satisfaisantes, qui seront la norme des DSI de demain.
Principe de la virtualisation des serveurs Principe de la virtualisation des serveurs
Bien plus que de la virtualisation
Pour parvenir à ces résultats, il a fallu démocratiser et généraliser des technologies jusque-là réservées à des systèmes très haut-de-gamme de type mainframe ou serveurs d’entreprises évolués.
Au premier rang d’entre eux, la virtualisation (appelée parfois partitionnement logique). Traditionnellement, un logiciel était développé pour une machine sous un système d’exploitation s’exécutant sur un serveur. Résultat : autant de serveurs que d’applications, voire plusieurs serveurs avec chacun une installation de la même application… Et surtout, des machines souvent sous-utilisées, présentant donc un surcoût inutile.
La virtualisation permet au logiciel de s’affranchir des contraintes matérielles : plusieurs serveurs virtuels exécutant des applications fonctionnent sur un même serveur physique. En outre, un même serveur virtuel peut “s’étaler” sur plusieurs serveurs physiques. Et surtout, l’entreprise ne doit généralement pas redévelopper ses applications. Une opération de consolidation affichant logiquement un retour sur investissement rapide.
Une organisation qui permet d’utiliser des fonctionnalités de haute disponibilité autrefois réservée aux grands serveurs. Il s’agit de mécanismes de réplication ou de mirroring dans lesquels un double du serveur virtuel exécute en parallèle les mêmes opérations que lui, sur un autre serveur physique. Ainsi, si l’un tombe en panne l’autre prend immédiatement le relai, sans interruption. Mieux encore les éditeurs de virtualisation (VMware, Microsoft, Red Hat, Citrix, IBM, Oracle…) savent aussi déplacer un serveur virtuel en fonctionnement vers un autre serveur physique, sans interruption (migration à chaud).
Deux illustrations, parmi tant d’autres, qui forment le socle d’une nouvelle ère informatique.

mercredi 28 mars 2012

L'espace de travail ne se limite plus aux frontières de l'entreprise

A lire sur: http://www.atelier.net/trends/files/lespace-de-travail-ne-se-limite-plus-aux-frontieres-de-lentreprise

Le phénomène du "BYOD*" a accéléré l'acceptation par les compagnies que leurs salariés pouvaient être tout aussi efficaces s'ils travaillaient dans des lieux et à des horaires plus flexibles. Une souplesse qui requiert néanmoins des cadres.
Homme pianotant sur son smartphone
Multiplication des appareils électroniques permettant de réaliser de nombreuses tâches... Engouement des salariés pour ces outils, utilisés au travail, et pour le travail, quel que soit l'endroit... Augmentation de la demande de mobilité et de flexibilité... Autant de tendances qui font que les entreprises commencent à envisager le fait que l'espace de travail ne doit et ne peut plus être réduit à un espace et à un lieu uniques. Selon Citrix, en France, ce sont ainsi plus de neuf grandes entreprises sur dix qui devraient mettre au point des environnements de travail flexibles d'ici 2013. Cela, soit en autorisant l'usage des appareils mobiles personnels ou professionnels, voire en proposant des applications dédiées. Soit en s'interrogeant sur les modifications structurelles que ces nouvelles frontières annoncent. Plus de mobilité pourrait ainsi impliquer la création de nouveaux postes, comme celui d'un directeur de la mobilité.

Repenser ses métiers

Cela oblige aussi certains métiers, comme celui de l'informatique, à repenser son fonctionnement et son rapport à l'information. Voilà en tout cas ce que soulignaient récemment deux études publiées par Forrester Research. Fait intéressant : il serait réducteur de penser que cette demande de travail et d'efficacité en mobilité ne touche que certaines professions comme les cadres ou certains secteurs. Dans l'immobilier par exemple,  Cushman & Wakefield a lancé CW Mobile, une application permettant à un agent de travailler avec son client sur les lieux mêmes de la propriété qui l'intéresse. Le module permet de se renseigner sur l'environnement à proximité et sur le bâtiment. Autre secteur impacté : celui de la construction. Une étude réalisée par Channel Marketing Group et Allen Ray Associates rappelait récemment que les professionnels du secteur sont de plus en plus nombreux à utiliser ordinateur, smartphones et tablettes pour accéder depuis un chantier à des informations décisionnelles.

Des étapes à franchir

Le but de ces compagnies n'est pas philanthropique : décloisonner signifie aussi la possibilité de réduire les dépenses informatiques et améliorer la productivité et l'engagement. Cependant, avant de pouvoir parler d'un espace de travail complètement flexible, de nombreuses étapes restent à franchir. Notamment au niveau sécuritaire : cet éparpillement de l'information suscite de nombreuses inquiétudes et ralentit l'implémentation de projets de travail en mobilité. Dans des pays comme la France, c'est aussi toute une culture d'entreprise qu'il faudra faire évoluer. En effet, selon une autre étude de Citrix, beaucoup d'entreprises restent attachées à la présence physique de leurs salariés. Salariés qui sont enfin souvent peu au courant de leurs possibilités de travailler à distance, ou en mobilité. Cette même étude rappelle ainsi que plus de quatre personnes sur dix ne seraient pas au courant de la politique de leur entreprise sur le sujet.
*Bring your own device

Sommaire

Les grandes entreprises commencent à intégrer le travail en mobilité

Par L'Atelier - Paris 15 mars 2012 
Télétravail
Le phénomène "Bring your own device" devrait se développer de façon significative. Un nombre non négligeable de grandes compagnies françaises devrait ainsi laisser le choix du mode de travail à leurs salariés d'ici fin 2013.
L'espace de travail a de fortes chances de prochainement ne plus se cantonner au bureau : selon une étude* rendue publique par l'entreprise Américaine Citrix, plus de neuf entreprises françaises sur dix de plus de cinq cents employés envisageraient de mettre en place des environnements de travail flexibles d'ici fin 2013. Le rapport, qui dresse un état des lieux du télétravail en France dans les grandes entreprises françaises, rapporte que pour les professionnels de l'informatique interrogés, il faut laisser le choix du lieu de travail et du matériel pour mettre les collaborateurs dans les meilleures conditions.

Des avantages partagés

Les principaux bénéfices pour la marque ? Une réduction des coûts de l'entreprise et des dépenses informatiques indéniables pour 52% des responsables informatiques français interrogés. Mais également, un gain de productivité pour 54% d'entre eux et une amélioration de la qualité de service pour 41%. Côté salariés, c'est la liberté de travailler de n'importe où qui ressort évidemment comme principal facteur de motivation pour plus de six personnes sur dix. Cela, sous condition de posséder le matériel le plus adapté.

Les grandes entreprises en retard par rapport aux PME

Même si les grandes entreprises sont enthousiastes par rapport au travail nomade, il existe un écart important dans la pratique avec les PME. Confrontées aux lourdeurs systémiques pour opérer des choix organisationnels et technologiques, le rôle des DSI est de première importance dans la conduite du changement. L'enjeu pour eux est d'accompagner des collaborateurs de plus en plus nomades. A noter que depuis le 29 février 2012, le télétravail, l'une des formes du travail à distance, est reconnu par le droit en France. L'Assemblée Nationale a en effet adopté une proposition de loi visant à intégrer le télétravail dans le code du Travail.
* menée auprès d'un échantillon de 1 100 responsables informatiques de grandes entreprises françaises et de dix autres pays en octobre 2011

jeudi 15 mars 2012

Les grandes entreprises commencent à intégrer le travail en mobilité

Par L'Atelier - Paris 15 mars 2012 Télétravail
Le phénomène "Bring your own device" devrait se développer de façon significative. Un nombre non négligeable de grandes compagnies françaises devrait ainsi laisser le choix du mode de travail à leurs salariés d'ici fin 2013.
L'espace de travail a de fortes chances de prochainement ne plus se cantonner au bureau : selon une étude* rendue publique par l'entreprise Américaine Citrix, plus de neuf entreprises françaises sur dix de plus de cinq cents employés envisageraient de mettre en place des environnements de travail flexibles d'ici fin 2013. Le rapport, qui dresse un état des lieux du télétravail en France dans les grandes entreprises françaises, rapporte que pour les professionnels de l'informatique interrogés, il faut laisser le choix du lieu de travail et du matériel pour mettre les collaborateurs dans les meilleures conditions.

Des avantages partagés

Les principaux bénéfices pour la marque ? Une réduction des coûts de l'entreprise et des dépenses informatiques indéniables pour 52% des responsables informatiques français interrogés. Mais également, un gain de productivité pour 54% d'entre eux et une amélioration de la qualité de service pour 41%. Côté salariés, c'est la liberté de travailler de n'importe où qui ressort évidemment comme principal facteur de motivation pour plus de six personnes sur dix. Cela, sous condition de posséder le matériel le plus adapté.

Les grandes entreprises en retard par rapport aux PME

Même si les grandes entreprises sont enthousiastes par rapport au travail nomade, il existe un écart important dans la pratique avec les PME. Confrontées aux lourdeurs systémiques pour opérer des choix organisationnels et technologiques, le rôle des DSI est de première importance dans la conduite du changement. L'enjeu pour eux est d'accompagner des collaborateurs de plus en plus nomades. A noter que depuis le 29 février 2012, le télétravail, l'une des formes du travail à distance, est reconnu par le droit en France. L'Assemblée Nationale a en effet adopté une proposition de loi visant à intégrer le télétravail dans le code du Travail.
* menée auprès d'un échantillon de 1 100 responsables informatiques de grandes entreprises françaises et de dix autres pays en octobre 2011
Source: http://www.atelier.net/trends/articles/grandes-entreprises-commencent-integrer-travail-mobilite