A lire sur: http://www.itchannel.info/articles/131045/importance-sauvegarde-donnees.html?key=862d53eea2c1d2fe
Primo, il est important de noter que plus de la moitié des entreprises conservent les données nécessaires à la mise en place d’un plan de reprise d’activité dans leurs locaux. C’est notamment le cas en France, où 64% des entreprises disent héberger leurs systèmes de sauvegarde et restauration en interne, contre 51% au Royaume-Uni et 47% aux Etats-Unis. En revanche, si seules 34% des entreprises utilisent un système de sauvegarde et restauration distant, 81% d'entre elles envisagent l’hébergement distant de leurs données à des fins de plan de reprise d’activité contre 79% aux Etats-Unis et 67% au Royaume-Uni. L’étude montre également que les français sont les plus attachés que les autres à leurs données, puisqu’ils sont 76% à estimer que la moitié de leurs données sont critiques (contre 68% aux US et 60% au Royaume-Uni).
Secundo, 22% des employés affirment stocker des données de l’entreprise sur leurs terminaux mobiles. Des données qui ne sont apparemment pas suffisamment protégées. D'ailleurs, seules 56% des entreprises disent avoir pris en compte ces données "mobiles" dans le cadre de leur plan de reprise d’activité et 40% ne les protègent pas du tout d’une éventuelle perte. Pourtant, plus d’un quart des entreprises a déjà été confronté à une perte de données au cours des 12 derniers mois et pour 70% d’entre elles, ces pertes se sont produites plusieurs fois.
Enfin, sachez qu'en France, 60% des entreprises externalisent tout ou une partie de leurs systèmes. 72% des décideurs IT français disent d'ailleurs préférer faire appel à un prestataire local (contre 67% aux US et 54% au Royaume-Uni).
L’étude démontre également que les responsables systèmes français assument mieux l’éventualité d’annoncer à leur hiérarchie une perte irrécupérable des données. 52% seraient ainsi prêts à l'assumer, mais "10% préféreraient se faire arracher une dent sans anesthésie" souligne EVault. Drôle d'idée.
Jeudi 5 Avril 2012
EVault a voulu savoir ce qu'avaient mis en place les
entreprises en matière de sauvegarde, de sécurité et de restauration des
données. Voici les résultats de son enquête. Primo, il est important de noter que plus de la moitié des entreprises conservent les données nécessaires à la mise en place d’un plan de reprise d’activité dans leurs locaux. C’est notamment le cas en France, où 64% des entreprises disent héberger leurs systèmes de sauvegarde et restauration en interne, contre 51% au Royaume-Uni et 47% aux Etats-Unis. En revanche, si seules 34% des entreprises utilisent un système de sauvegarde et restauration distant, 81% d'entre elles envisagent l’hébergement distant de leurs données à des fins de plan de reprise d’activité contre 79% aux Etats-Unis et 67% au Royaume-Uni. L’étude montre également que les français sont les plus attachés que les autres à leurs données, puisqu’ils sont 76% à estimer que la moitié de leurs données sont critiques (contre 68% aux US et 60% au Royaume-Uni).
Secundo, 22% des employés affirment stocker des données de l’entreprise sur leurs terminaux mobiles. Des données qui ne sont apparemment pas suffisamment protégées. D'ailleurs, seules 56% des entreprises disent avoir pris en compte ces données "mobiles" dans le cadre de leur plan de reprise d’activité et 40% ne les protègent pas du tout d’une éventuelle perte. Pourtant, plus d’un quart des entreprises a déjà été confronté à une perte de données au cours des 12 derniers mois et pour 70% d’entre elles, ces pertes se sont produites plusieurs fois.
Enfin, sachez qu'en France, 60% des entreprises externalisent tout ou une partie de leurs systèmes. 72% des décideurs IT français disent d'ailleurs préférer faire appel à un prestataire local (contre 67% aux US et 54% au Royaume-Uni).
L’étude démontre également que les responsables systèmes français assument mieux l’éventualité d’annoncer à leur hiérarchie une perte irrécupérable des données. 52% seraient ainsi prêts à l'assumer, mais "10% préféreraient se faire arracher une dent sans anesthésie" souligne EVault. Drôle d'idée.
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