A lire sur: http://www.itrnews.com/articles/131223/reseaux-sociaux-permettent-doper-ventes-ligne.html?key=862d53eea2c1d2fe
Publié le 12 Avril 2012
Environ 20% des cyber-acheteurs disent
faire un lien entre l'utilisation des réseaux sociaux et leurs achats en
ligne. Vu les efforts des marques et des entreprises pour être présents
sur ces réseaux sociaux, c'est peu, non ?
Une étude réalisée par Yuseo auprès de 25 000 cyber-acheteurs français et anglais nous apprend, en effet, que 37 % des cyber-acheteurs français n'utilisent absolument pas les réseaux sociaux pour faire leurs achats et que 43% disent séparer clairement l'utilisation des réseaux sociaux de leurs achats en ligne.
Pour le moment donc, seuls 6% des cyber-acheteurs français déclarent avoir déjà acheté un produit à partir de la page d'une marque au sein d'un réseau social. Ce qui permet de relativiser le "potentiel direct de vente du canal social" souligne Yuseo. D'ailleurs à peine 10% des cyber-acheteurs laissent ou partagent les informations concernant leurs achats sur les réseaux sociaux. Au final, ils sont que 8% à se déclarer réellement influencés par l'avis de leurs contacts sur un réseau social, avant d'acheter.
" La possibilité offerte par les réseaux sociaux comme « point d’écoute » du client est indéniable, estime le spécialiste du marketing. Cette démarche de veille et d’écoute est consommatrice de ressources (techniques et humaines) pour connaître et suivre son « profil social digital ». D’un point de vue business pur et de connaissance client, cet accès « direct » n’est pas nécessairement plus structurant que la donnée disponible en call centre ou en point de vente physique. Alors que depuis des décennies, toute entreprise désireuse de « bien » vendre sait que l’écoute client est essentielle, la caisse de résonnance qu’offrent les réseaux sociaux pose inévitablement l’enjeu de la capacité à « relativiser » et qualifier l’information recueillie ".
Aux vues de ces résultats, Yuseo pose la question : quelles ressources l'entreprise doit-elle allouer aux réseaux sociaux par rapport aux autres canaux avec un bénéfice directement mesurable ?
Méthodologie : le recueil s’est déroulé entre le 15 septembre et le 15 décembre 2011 auprès de 13.000
cyberacheteurs en France et 12.000 cyberacheteurs en UK.
Une étude réalisée par Yuseo auprès de 25 000 cyber-acheteurs français et anglais nous apprend, en effet, que 37 % des cyber-acheteurs français n'utilisent absolument pas les réseaux sociaux pour faire leurs achats et que 43% disent séparer clairement l'utilisation des réseaux sociaux de leurs achats en ligne.
Pour le moment donc, seuls 6% des cyber-acheteurs français déclarent avoir déjà acheté un produit à partir de la page d'une marque au sein d'un réseau social. Ce qui permet de relativiser le "potentiel direct de vente du canal social" souligne Yuseo. D'ailleurs à peine 10% des cyber-acheteurs laissent ou partagent les informations concernant leurs achats sur les réseaux sociaux. Au final, ils sont que 8% à se déclarer réellement influencés par l'avis de leurs contacts sur un réseau social, avant d'acheter.
" La possibilité offerte par les réseaux sociaux comme « point d’écoute » du client est indéniable, estime le spécialiste du marketing. Cette démarche de veille et d’écoute est consommatrice de ressources (techniques et humaines) pour connaître et suivre son « profil social digital ». D’un point de vue business pur et de connaissance client, cet accès « direct » n’est pas nécessairement plus structurant que la donnée disponible en call centre ou en point de vente physique. Alors que depuis des décennies, toute entreprise désireuse de « bien » vendre sait que l’écoute client est essentielle, la caisse de résonnance qu’offrent les réseaux sociaux pose inévitablement l’enjeu de la capacité à « relativiser » et qualifier l’information recueillie ".
Aux vues de ces résultats, Yuseo pose la question : quelles ressources l'entreprise doit-elle allouer aux réseaux sociaux par rapport aux autres canaux avec un bénéfice directement mesurable ?
Méthodologie : le recueil s’est déroulé entre le 15 septembre et le 15 décembre 2011 auprès de 13.000
cyberacheteurs en France et 12.000 cyberacheteurs en UK.
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