A lire sur: http://www.finyear.com/Le-Big-Data-a-un-impact-grandissant-sur-les-entreprises_a23827.html
Capgemini, un des leaders mondiaux du conseil, des services informatiques et de l'infogérance, publie les résultats d'une enquête internationale sur l'utilisation du Big Data dans le processus décisionnel. Cette étude intitulée « The Deciding Factor: Big Data & Decision making» (Le facteur décisif: Big Data et prise de décision) a été rédigée par l'Economist Intelligence Unit à la demande de Capgemini.
Elle révèle que pour neuf dirigeants sur dix, les données
représentent le quatrième facteur de production et qu'elles sont tout
aussi importantes pour leur entreprise que la propriété, la main d'œuvre
et le capital. Cette étude réalisée auprès de plus de 600 cadres
supérieurs, dirigeants et responsables informatiques du monde entier
montre que les entreprises qui utilisent des outils d'analyse pour les
grands volumes de données ont amélioré leurs performances de 26 % en
moyenne et s’attendent à ce que cette amélioration atteignent même 41 %
au cours des trois prochaines années. La majorité des entreprises (58 %)
affirment qu'elles investiront davantage dans l'analyse des grands
volumes données au cours des années à venir.
Deux tiers des sondés considèrent que leur entreprise est « pilotée par les données » et déclarent que la leur collecte et leur analyse sous-tendent la stratégie de leur entreprise et la prise de décision au quotidien. Les dirigeants qui fondent leurs décisions sur une combinaison d'expérience et d'intuition sont de plus en plus rares. Plus de la moitié (54 %) déclarent que la prise de décisions fondée uniquement sur l'intuition ou l'expérience est de plus en plus considérée comme très incertaine et 65 % affirment que les décisions sont de plus en plus fondées sur « l'analyse d'informations brutes ». Ce chiffre atteint même 73 % dans le secteur des services financiers, 75 % dans celui de la santé, les produits pharmaceutiques et les biotechnologies, et 76 % dans celui de l'énergie et des ressources naturelles. La majorité des dirigeants (58 %) s'appuient sur l'analyse des données non structurées (textes, des messages vocaux,images, contenu vidéo) et plus de 40 % déclarent que les données générées par les réseaux sociaux en particulier sont de plus en plus importantes pour la prise de décision.
Selon le cabinet de recherche Gartner: «les chefs d'entreprise et les responsables informatiques considèrent de plus en plus les informations comme l'une des ressources les plus critiques et les plus stratégiques de l'entreprise. Le nombre d’entreprises qui exploitent les informations comme levier de performance, arme concurrentielle et outil relationnel est indiscutablement en forte augmentation » - Gartner Inc., Predicts 2012: Information Infrastructure and Big Data (29 novembre 2011).
La pertinence et la qualité des données restent des aspects importants. 42 % des dirigeants affirment que l'analyse des données a ralenti la prise de décision, mais 85 % d'entre eux estiment que l'augmentation du volume des données n'est pas le principal problème. La difficulté réside plutôt dans la capacité à les analyser et les exploiter en temps réel. Étant donné que les entreprises cherchent de plus en plus à sortir de l'analyse pour automatiser la prise de décision, la qualité des données est considérée comme un obstacle majeur: 67% des entreprises déclarent être confrontées à l'imprécision des données au quotidien.
Pour Paul Nannetti, directeur des ventes et du portefeuille d'offres du groupe Capgemini : « L'exploitation du Big Data améliore considérablement la qualité de la prise de décision. Toutefois, ce n'est pas seulement en exploitant les nombreuses sources de données nouvelles que les entreprises peuvent obtenir un avantage concurrentiel. L'apport de valeur ajoutée réside dans leur capacité à analyser rapidement et efficacement ces données pour optimiser les processus et la prise de décision en temps réel. Ainsi, les entreprises réellement pilotées par les données sont en mesure d’examiner les comportements des clients et l'évolution du marché avec plus de certitude, et peuvent réagir rapidement et efficacement pour se distinguer de la concurrence ».
Les silos organisationnels constituent un obstacle important pour les entreprises qui souhaitent tirer le meilleur parti du Big Data (56 %). Le passage des silos départementaux aux silos des processus métier empêche l'échange et l'intégration des données et n'offre pas une vue globale de la gestion des données. Cependant, le problème le plus important pour 51 % des entreprises est peut-être celui de la pénurie de spécialistes. L'écart entre l'offre et la demande d'analystes expérimentés est plus important dans les secteurs de la vente au détail et des biens de grande consommation. Deux tiers des sondés de ces secteurs citent la pénurie de talents comme le premier obstacle à la prise de décision fondée sur les données.
En réponse à l'importance croissante et aux enjeux du Big Data, la ligne mondiale de services « Business Information Management » de Capgemini a investi dans un vaste portefeuille de solutions et de services d'analyse, notamment dans une approche métier pragmatique du Big Data et dans le conseil sur les options technologiques clés à la disposition des clients. Capgemini offre des solutions d'analyse aux entreprises des secteurs des télécommunications, des services publics et des services financiers, ainsi que neuf solutions d'analyse spécifiques aux domaines suivants : analyse des clients, analyse marketing, maintenance des systèmes d'analyse prédictive, performances de l'entreprise, exploitation des informations sociales, planification et ordonnancement avancés, gestion des risques, analyse de la fraude et analyse financière.
Pour obtenir le rapport complet : www.capgemini.com/the-deciding-factor
À propos de l'étude
En mars 2012, l'Economist Intelligence Unit a réalisé une étude auprès de 607 dirigeants du monde entier, dont 38 % en Europe, 28 % en Amérique du Nord, 25 % en Asie-Pacifique et 9 % répartis entre l'Amérique latine, le Moyen-Orient et l'Afrique. . 43 % des sondés étaient des cadres supérieurs. Les 57 % restants étaient d'autres responsables de haut niveau tels que des vice-présidents, des directeurs d'entité et des chefs de service. Les personnes interrogées exerçaient différentes fonctions dans plus de 20 secteurs d'activité, les mieux représentés étant les services financiers, les services professionnels, les technologies, la fabrication, la santé et les produits pharmaceutiques, ainsi que les produits de grande consommation et la vente au détail.
Le Big Data fait référence à l'augmentation spectaculaire du volume des données et à la difficulté de les gérer et de les interpréter à l'aide des outils classiques de gestion de bases de données. Les ensembles de données sont de plus en plus volumineux en raison des recherches sur Internet, des réseaux sociaux et de la montée en puissance des systèmes informatiques d'entreprise, mais ils sont de plus en plus collectés par des appareils mobiles qui les détectent, des technologies sensorielles (télédétection), des appareils photos, des microphones, des lecteurs d'identification par radiofréquence et des réseaux de capteurs sans fil. Le fait de travailler avec des ensembles de données plus volumineux présente de nombreux avantages : les entreprises peuvent notamment détecter des tendances et des problèmes évitables.
Deux tiers des sondés considèrent que leur entreprise est « pilotée par les données » et déclarent que la leur collecte et leur analyse sous-tendent la stratégie de leur entreprise et la prise de décision au quotidien. Les dirigeants qui fondent leurs décisions sur une combinaison d'expérience et d'intuition sont de plus en plus rares. Plus de la moitié (54 %) déclarent que la prise de décisions fondée uniquement sur l'intuition ou l'expérience est de plus en plus considérée comme très incertaine et 65 % affirment que les décisions sont de plus en plus fondées sur « l'analyse d'informations brutes ». Ce chiffre atteint même 73 % dans le secteur des services financiers, 75 % dans celui de la santé, les produits pharmaceutiques et les biotechnologies, et 76 % dans celui de l'énergie et des ressources naturelles. La majorité des dirigeants (58 %) s'appuient sur l'analyse des données non structurées (textes, des messages vocaux,images, contenu vidéo) et plus de 40 % déclarent que les données générées par les réseaux sociaux en particulier sont de plus en plus importantes pour la prise de décision.
Selon le cabinet de recherche Gartner: «les chefs d'entreprise et les responsables informatiques considèrent de plus en plus les informations comme l'une des ressources les plus critiques et les plus stratégiques de l'entreprise. Le nombre d’entreprises qui exploitent les informations comme levier de performance, arme concurrentielle et outil relationnel est indiscutablement en forte augmentation » - Gartner Inc., Predicts 2012: Information Infrastructure and Big Data (29 novembre 2011).
La pertinence et la qualité des données restent des aspects importants. 42 % des dirigeants affirment que l'analyse des données a ralenti la prise de décision, mais 85 % d'entre eux estiment que l'augmentation du volume des données n'est pas le principal problème. La difficulté réside plutôt dans la capacité à les analyser et les exploiter en temps réel. Étant donné que les entreprises cherchent de plus en plus à sortir de l'analyse pour automatiser la prise de décision, la qualité des données est considérée comme un obstacle majeur: 67% des entreprises déclarent être confrontées à l'imprécision des données au quotidien.
Pour Paul Nannetti, directeur des ventes et du portefeuille d'offres du groupe Capgemini : « L'exploitation du Big Data améliore considérablement la qualité de la prise de décision. Toutefois, ce n'est pas seulement en exploitant les nombreuses sources de données nouvelles que les entreprises peuvent obtenir un avantage concurrentiel. L'apport de valeur ajoutée réside dans leur capacité à analyser rapidement et efficacement ces données pour optimiser les processus et la prise de décision en temps réel. Ainsi, les entreprises réellement pilotées par les données sont en mesure d’examiner les comportements des clients et l'évolution du marché avec plus de certitude, et peuvent réagir rapidement et efficacement pour se distinguer de la concurrence ».
Les silos organisationnels constituent un obstacle important pour les entreprises qui souhaitent tirer le meilleur parti du Big Data (56 %). Le passage des silos départementaux aux silos des processus métier empêche l'échange et l'intégration des données et n'offre pas une vue globale de la gestion des données. Cependant, le problème le plus important pour 51 % des entreprises est peut-être celui de la pénurie de spécialistes. L'écart entre l'offre et la demande d'analystes expérimentés est plus important dans les secteurs de la vente au détail et des biens de grande consommation. Deux tiers des sondés de ces secteurs citent la pénurie de talents comme le premier obstacle à la prise de décision fondée sur les données.
En réponse à l'importance croissante et aux enjeux du Big Data, la ligne mondiale de services « Business Information Management » de Capgemini a investi dans un vaste portefeuille de solutions et de services d'analyse, notamment dans une approche métier pragmatique du Big Data et dans le conseil sur les options technologiques clés à la disposition des clients. Capgemini offre des solutions d'analyse aux entreprises des secteurs des télécommunications, des services publics et des services financiers, ainsi que neuf solutions d'analyse spécifiques aux domaines suivants : analyse des clients, analyse marketing, maintenance des systèmes d'analyse prédictive, performances de l'entreprise, exploitation des informations sociales, planification et ordonnancement avancés, gestion des risques, analyse de la fraude et analyse financière.
Pour obtenir le rapport complet : www.capgemini.com/the-deciding-factor
À propos de l'étude
En mars 2012, l'Economist Intelligence Unit a réalisé une étude auprès de 607 dirigeants du monde entier, dont 38 % en Europe, 28 % en Amérique du Nord, 25 % en Asie-Pacifique et 9 % répartis entre l'Amérique latine, le Moyen-Orient et l'Afrique. . 43 % des sondés étaient des cadres supérieurs. Les 57 % restants étaient d'autres responsables de haut niveau tels que des vice-présidents, des directeurs d'entité et des chefs de service. Les personnes interrogées exerçaient différentes fonctions dans plus de 20 secteurs d'activité, les mieux représentés étant les services financiers, les services professionnels, les technologies, la fabrication, la santé et les produits pharmaceutiques, ainsi que les produits de grande consommation et la vente au détail.
Le Big Data fait référence à l'augmentation spectaculaire du volume des données et à la difficulté de les gérer et de les interpréter à l'aide des outils classiques de gestion de bases de données. Les ensembles de données sont de plus en plus volumineux en raison des recherches sur Internet, des réseaux sociaux et de la montée en puissance des systèmes informatiques d'entreprise, mais ils sont de plus en plus collectés par des appareils mobiles qui les détectent, des technologies sensorielles (télédétection), des appareils photos, des microphones, des lecteurs d'identification par radiofréquence et des réseaux de capteurs sans fil. Le fait de travailler avec des ensembles de données plus volumineux présente de nombreux avantages : les entreprises peuvent notamment détecter des tendances et des problèmes évitables.
Friday, July 13th 2012
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