A lire sur: http://www.cio-online.com/actualites/lire-les-enjeux-du-big-data-a-l-argus-de-la-presse-4432.html?utm_source=mail&utm_medium=email&utm_campaign=Newsletter
Edition du 05/07/2012 - par Bertrand Lemaire
L'Argus de la Presse a dû s'adapter à la dématérialisation des médias depuis la presse écrite jusqu'à la TV. Pour ce prestataire de services, internet bouleverse ses modes de fonctionnement. Georges Sawaya, son DOSI, explique comment il relève le défi.
Edition du 05/07/2012 - par Bertrand Lemaire
L'Argus de la Presse a dû s'adapter à la dématérialisation des médias depuis la presse écrite jusqu'à la TV. Pour ce prestataire de services, internet bouleverse ses modes de fonctionnement. Georges Sawaya, son DOSI, explique comment il relève le défi.
CIO : Vous êtes DOSI (Directeur de l'Organisation et
des Systèmes d'information) de l'Argus de la Presse. Comment avez-vous
été sollicité pour ce poste et quelle est l'activité de l'Argus de la
Presse?
Georges Sawaya : J'ai été contacté par un chasseur de tête. Ma connaissance du secteur de la presse a été évidemment importante. L'Argus de la Presse était en pleine révolution à cause d'Internet. L'Argus de la Presse indexe les références à des marques ou à des noms cités dans la presse. Le mode de travail sur les supports traditionnels était déjà largement dématérialisé à mon arrivée.
CIO : Techniquement en quoi consiste le travail de l'Argus de la presse?
Georges Sawaya : Selon ce qu'envoie l'éditeur, soit on part d'un document au format PDF, soit du support papier que l'on scanne puis où l'on effectue une reconnaissance optique des caractères. Nous traitons ensuite un ensemble de fichiers PDF et XML avec les métadonnées d'indexation de manière essentiellement automatique.
CIO : Indexez-vous également l'audiovisuel?
Georges Sawaya : En effet. Pour l'audiovisuel, c'est-à-dire la TNT, la WebTV, les radios régionales et nationales, l'indexation est essentiellement humaine car les outils automatiques ne sont pas matures et ils sont très coûteux. Enfin, pour les supports purement numériques, l'indexation est semi-automatique, car la validation humaine est requise pour, par exemple, distinguer le C4, explosif utilisé par les terroristes, de la C4, automobile Citroën. Les éléments indexés sont ensuite découpés et mis en ligne sur notre portail client.
CIO : Indexez-vous les médias sociaux?
Georges Sawaya : Oui, dans le cadre de (...)
Lire la suite dans CIO.PDF 53
Georges Sawaya : J'ai été contacté par un chasseur de tête. Ma connaissance du secteur de la presse a été évidemment importante. L'Argus de la Presse était en pleine révolution à cause d'Internet. L'Argus de la Presse indexe les références à des marques ou à des noms cités dans la presse. Le mode de travail sur les supports traditionnels était déjà largement dématérialisé à mon arrivée.
CIO : Techniquement en quoi consiste le travail de l'Argus de la presse?
Georges Sawaya : Selon ce qu'envoie l'éditeur, soit on part d'un document au format PDF, soit du support papier que l'on scanne puis où l'on effectue une reconnaissance optique des caractères. Nous traitons ensuite un ensemble de fichiers PDF et XML avec les métadonnées d'indexation de manière essentiellement automatique.
CIO : Indexez-vous également l'audiovisuel?
Georges Sawaya : En effet. Pour l'audiovisuel, c'est-à-dire la TNT, la WebTV, les radios régionales et nationales, l'indexation est essentiellement humaine car les outils automatiques ne sont pas matures et ils sont très coûteux. Enfin, pour les supports purement numériques, l'indexation est semi-automatique, car la validation humaine est requise pour, par exemple, distinguer le C4, explosif utilisé par les terroristes, de la C4, automobile Citroën. Les éléments indexés sont ensuite découpés et mis en ligne sur notre portail client.
CIO : Indexez-vous les médias sociaux?
Georges Sawaya : Oui, dans le cadre de (...)
Lire la suite dans CIO.PDF 53
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire