mardi 10 juillet 2012

Cloud : le marché qui valait 100 milliards

A lire sur:  http://www.linformaticien.com/actualites/id/25603/cloud-le-marche-qui-valait-100-milliards.aspx

Signe de l’engouement qu’il suscite, le marché du cloud computing passera la barre des 100 milliards de dollars dans le monde en 2012. Il enregistre une croissance de près de 20% d’une année sur l’autre. 
Pour Amazon, le cloud computing deviendra « aussi important que le marché du e-commerce ». Au sens large, ceci indique que chacun « consommera » des services de cloud computing, personnels ou professionnels, dans les années à venir.
Le marché global devrait passer la barre des 100 milliards de dollars pour atteindre les 109 milliards cette année, selon Gartner, soit une croissance de 20% par rapport à 2011. Un chiffre qui ne recense que le « cloud public », et donc pas les dépenses des entreprises et de leurs « clouds privés », précise l’institut de recherche.
En comparaison, les dépenses mondiales des entreprises dans les technologies de l'information et des communications devraient connaître une hausse de 3 %, à 3600 milliards de dollars cette année, au lieu d'une hausse prévue à 2,5 %.
Le marché des services continue lui aussi à grimper, pour atteindre les 864 milliards de dollars en 2012. Il devrait arriver à 905 milliards en 2016, contre 207 milliards pour le marché du cloud public la même année. L’engouement pour le cloud computing a aussi touché les entreprises françaises jusqu’à l’Etat, qui a investi de l’argent via la Caisse des Dépôts dans des projets comme Andromède par exemple, sorte d’usine numérique sauce franco-française.

Des avantages dans les nuages

L’adoption massive du cloud computing n’est pas qu’une histoire de « mode ». Outre ses avantages fonctionnels, de rapidité, d’ubiquité, de vitesse de déploiement ou autre, l’institut Gartner souligne que les entreprises peuvent transformer leurs dépenses d’investissement en dépenses de fonctionnement.
En somme, c’est le modèle de la location qui est plébiscité. A plusieurs titres : financier en premier lieu, mais pas seulement. Ce modèle permet également de s’adapter à la demande de manière réactive voire proactive, que ce soit en termes de capacité de stockage, de puissance de calcul, de déploiement de machines virtuelles, de ressources, etc. En résumé : de flexibilité.
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